Deux nouvelles écrites en 1896 et 1898 qui abordent la liberté d'aimer et de créer de la femme. L'auteure dénonce l'institution du mariage qui, selon elle, annihile cette liberté. Grand prix du livre audio 2019 (classique).
<div><div class=regular><p><b><i>Fénitchka</i> suivi de <i>Une longue dissipation</i></b></p><p>« Max Werner s'assit au hasard à côté d'une jeune Russe qu'il voyait pour la première fois, - il ne comprit pas son nom compliqué lors de la présentation, mais on l'appelait tout simplement, quand on lui parlait, Fénia ou Fénitchka. Dans sa petite robe noire de nonne, [...] elle ne lui fit tout d'abord aucune impression particulière. [...] Seuls lui plurent, en Fénia, les intelligents yeux bruns qui jetaient sur toute chose un regard ouvert et clair. » L. A.-S.</p></div></div>