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Philosophie magazine : vivons heureux avant la fin du monde : couple, famille, sexualité
Delphine Saltel
- Philosophie Magazine Editeur
- Philosophie Magazine
- 31 Août 2023
- 9782900818275
D'où provient notre modèle conjugal ? Pourquoi est-il en crise ? Comment vivre en famille quand les histoires d'amour durent de moins en moins longtemps ? Qu'attend-on des parents d'aujourd'hui ? Où en sont nos scénarios sexuels ? Comment se dépatouiller avec la monogamie, les modes de garde des enfants, le chéquier du compte commun ?
Dans cet ouvrage inspiré du podcast « Vivons heureux avant la fin du monde », produit par ARTE Radio, Delphine Saltel mêle le récit de soi aux rencontres avec des anonymes, des penseurs-ses et des activistes. Tirant des traits d'union entre nos difficultés intimes et l'éclairage des sciences humaines, elle livre un essai tonique, informé et incarné qui repolitise la grande aventure du couple. -
REVUE DES DEUX MONDES : intrasigeante et libre, l'extraordinaire Simone Weil
Revue Des Deux Mondes
- Revue Des Deux Mondes
- Revue Des Deux Mondes
- 11 Octobre 2023
- 9782356502865
« Simone Weil est le seul grand esprit de notre temps » Albert Camus
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Revue de métaphysique et de morale n.3 : femmes philosophes au XVIIé siècle
Revue De Metaphysique Et De Morale
- PUF
- Revue De Metaphysique Et De Morale
- 11 Septembre 2024
- 9782130861584
Le prochain numéro sera entièrement consacré à l'histoire de la philosophie moderne. Le dossier, coordonné par Anne-Lise Rey, intitulé « Femmes philosophes à l'époque moderne » s'inscrit dans le renouveau de l'histoire de la philosophie qui vise à montrer l'importance de la contribution des femmes et à leur redonner une place dans l'historiographie. Les études rassemblées dans ce dossier témoignent de l'inscription de ces femmes philosophes dans la discussion philosophique de leur temps, qu'il s'agisse de la méthode de la connaissance, de métaphysique ou de philosophie morale, comme de la singularité de leur approche et de l'originalité des formes littéraires qu'elles empruntent.
Ce dossier est accompagné par la traduction par Philippe Hamou d'un manuscrit de Locke intitulé « Of Study ». Dans ce texte, Locke propose une réflexion sur l'organisation du savoir humain, la méthode et la conduite de l'entendement. Ce texte inédit en français est particulièrement important pour l'éthique intellectuelle qu'il formule. On y retrouve l'une des questions centrales de l' Essai : quelles dispositions morales et psychologiques doivent être cultivées si l'on veut parvenir à la connaissance ?
Enfin la chronique d'histoire de la philosophie moderne clôt le sommaire de ce numéro.
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Philosophie magazine : La puissance des femmes : Une autre histoire de la philosophie
Collectif
- Philosophie Magazine Editeur
- Philosophie Magazine
- 12 Novembre 2020
- 9782900818091
Effacées, oubliées, dédaignées, les femmes ont traversé l'histoire de la philosophie en clandestines. Pourtant, d'Hypatie d'Alexandrie à Olympe de Gouges, de Rosa Luxemburg à Simone Weil et Hannah Arendt, elles ont osé penser aussi bien les questions universelles que leur propre condition, jusqu'à l'émergence des féminismes contemporains.
Ce livre présente leurs idées, rend hommage à leur combat, et dresse une grande fresque, celle d'une autre histoire de la philosophie. -
Philosophie magazine : La Vérité tue : Agatha Christie et la famille
Sonia Feertchak
- Philosophie Magazine Editeur
- Philosophie Magazine
- 25 Mars 2021
- 9782900818138
Sur les 66 romans à énigme d'Agatha Christie, plus de 50 mettent en scène des crimes familiaux.
Mais le meurtre est un écran de fumée ; le vrai sujet de l'oeuvre de Christie, c'est la banalité du mal au sein de la famille, et le silence qui l'entoure. Ressentiment, manipulation jalousie, humiliation, inceste... La vérité est tue de peur qu'elle ne tue. Au coeur des familles, certains ont tous les droits, d'autres n'ont que celui de (se) laisser faire et se taire.
Sonia Feertchak propose une lecture totalement neuve de l'oeuvre d'Agatha Christie, qui met au jour le tabou de la malveillance familiale et le rapport des familles à la vérité.
À lire Agatha Christie comme elle n'a jamais été lue, il sera dit sur la famille ce qui n'a jamais été dit. -
Revue Philosophie n.146 : Juin 2020
Revue Philosophie
- Éditions de Minuit
- Revue Philosophie
- 11 Juin 2020
- 9782707346377
Ce numéro s'ouvre par la traduction, par Bruno Langlet, de la première partie du texte de Bertrand Russell intitulé « La théorie des complexes et des assomptions de Meinong » (1904). En partisan du réalisme logique, Russell y analyse les idées de Meinong au tournant du siècle, lesquelles dessinent ce qui sera la théorie de l'objet (Gegenstandstheorie). Il montre le profond accord qui, en cette période, les réunit fréquemment sur nombre de principes, thèses et arguments; et dans cette première partie, il focalise la discussion sur la théorie des objets d'ordre supérieur de Meinong.
Dans « Intentionnalité et normativités pratiques : l'exemple du consentement », Marie-Hélène Desmeules rappelle que bien qu'elle soit une méthode essentiellement descriptive, la phénoménologie a dès le début tenté d'élucider certains traits normatifs de notre expérience. Si, chez les premiers phénoménologues, l'intentionnalité fut posée au fondement d'expériences à teneur normative, ils la réduisirent cependant à une forme de normativité théorique. L'auteur démontre, a contrario et par l'analyse de l'acte de consentement chez Husserl et Reinach, que l'intentionnalité demeure une notion pertinente pour penser la constitution de normativités pratiques irréductibles à une forme de normativité théorique.
Dans « Les lois de la nature peuvent-elles changer ? », Julien Tricard s'attache à critiquer la formulation traditionnelle du problème humien de l'induction, pour en proposer une plus simple. Depuis Hume, on estime qu'il faut démontrer que « les mêmes causes entraînent toujours les mêmes effets » ou que « les lois de la nature ne peuvent pas changer » (thèse d'uniformité de la nature). Or, premièrement, une analyse historique montre que la catégorie de causalité est inutile pour poser le problème de l'induction. Deuxièmement, leur analyse conceptuelle prouve que les lois de la nature ne peuvent pas changer dans le temps : une loi existe et ne change pas, ou bien n'existe pas. Par conséquent, pour résoudre le problème de l'induction, il suffit de montrer qu'il existe dans la nature des lois régissant les phénomènes.
Dans « L'objet de Michel Foucault », Daniel Liotta analyse les enjeux de la déclaration de Foucault : « je perçois l'intolérable ». Cette affirmation oblige à concevoir sa philosophie comme une pensée de la perception; ainsi la perception généalogique aurait-elle le mérite de nous donner à voir le contingent, alors que nous nous satisfaisions trop aisément de la croyance en une nécessité politique ou anthropologique. Toutefois, une difficulté axiologique ne saurait être esquivée : comment une pensée de la contingence peut-elle légitimement accorder une valeur nécessaire à cette norme que constituerait l'« intolérable » ?
D. P.