Filtrer
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Support
Éditeurs
Langues
- Littérature anglophone (14)
- Littérature asiatique (11)
- Littérature italophone (10)
- Littérature nordique (10)
- Littérature germanophone (6)
- Littérature du Moyen-orient (6)
- Littérature russophone (5)
- Littérature hispanophone (2)
- Littérature lusophone (1)
- Littérature européenne rare (1)
- Littérature arabe (1)
Prix
-
Dans "Au revoir les chats !" Hiro Arikawa renoue avec l'univers captivant et attachant des "Mémoires d'un chat". À tous ceux qui se demandaient ce qu'était devenu Hachi, le premier chat de Satoru, adopté après la mort des parents du jeune garçon, l'auteure répond dès la première nouvelle, dans un récit émouvant et plein de justesse autour du deuil, de la séparation et de l'acceptation. Au fil de sept contes et par le regard de sept nouveaux félins, nous embarquons pour un voyage à travers le Japon. Peut-être plus encore que dans le roman, Hiro Arikawa atteint avec la forme de la nouvelle un équilibre parfait. En alternant des récits brefs sur les joies et les drames des humains décrits par des chats, le recueil célèbre, en somme, la vie.
-
Scènes endormies dans la paume de la main
Yôko Ogawa
- Actes Sud
- Domaine Étranger
- 2 Avril 2025
- 9782330203566
Toujours à double fond, comme le sont tous les textes d'Ogawa, ceux-ci explorent avec une douceur remarquable la magie de la scène, l'importance du spectacle vivant qui engendre l'émotion singulière de la proximité, celle de l'illusion transmuée de réel. Car en chair et en os, la présence physique des personnages, des danseurs, des musiciens autorise, Ô merveille, le temps d'une représentation ou d'une signature d'autographe, un sentiment tout droit revenu de l'enfance et que l'on nomme l'admiration.
-
Dans une écriture remarquable d'inventivité et de poésie, cet éco-thriller habilement mâtiné de roman historique, met en lumière deux fins de cycles culturels et économiques : l'extinction des baleines sur la côte cantabrique et la fin probable (et espérée ?) du capitalisme tel que nous le connaissons.
-
Nives, fermière toscane, a choisi de combler le vide laissé après la mort de son mari par la compagnie d'une poule qui remplit son office de façon aussi surprenante qu'inespérée. Un soir, inquiète pour cette dernière, elle contacte le vétérinaire. L'appel d'urgence se mue alors en conversation fleuve aux allures de montagnes russes, à l'image d'une vie. Lorsque vérité rime avec liberté, un bref roman à deux voix vif, spontané, riche en révélations et émotions.
-
À l'été 1999, une famille nigériane arrive à New York, heureuse gagnante de la loterie de la green card. Un roman bourré d'humour et d'énergie sur l'inépuisable thème du racisme aux États-Unis, avec notamment une exploration des rapports entre Afro-américains et immigrés africains.
-
À la frontière entre Brésil et Argentine, une réserve naturelle est menacée par un projet de barrage hydroélectrique sur les plus larges chutes du monde, celles du Yucumã Deux communautés s'y s'affrontent : des autochtones en marge de la société qui vivent de la chasse aux animaux sauvages et de la contrebande ; des gardes forestiers qui luttent pour préserver le fragile équilibre des écosystèmes. Au coeur de ce combat, trois femmes puissantes s'allient pour empêcher cette tragédie environnementale. Un western écolo au charme envoutant, inscrit dans une terre où souffle le réalisme magique du Macondo de "Cent ans de solitude".
-
Ce roman de l'auteure des «Mémoires d'un chat» suit le trajet de la ligne Imazu de la compagnie de chemin de fer privée Hankyû. Organisé en deux parties de huit chapitres chacune (comme les huit arrêts du train), il se déroule au printemps dans le sens Takarazuka-Nishinomiya, et en automne pour le retour. À chaque arrêt, de nouveaux passagers montent, se parlent, s'observent. Et, d'un trajet à l'autre comme d'une saison à l'autre, le lecteur se fait l'observateur des paysages changeants, des multiples trajectoires de la vie et surtout de l'évolution de chacun des personnages montés à bord.
-
Nouveau roman de Leah Hager Cohen
-
Un couple passablement désabusé est invité à passer une semaine dans une maison de vacances somptueuse dans l'archipel d'Oslo. Rongée par une jalousie dévorante envers la propriétaire des lieux, Karin est incapable de profiter de ce répit loin d'un quotidien dont elle méprise secrètement la médiocrité. Lorsqu'elle rencontre les voisins, un couple d'écrivains célèbres, elle se laisser aller à un petit mensonge anodin. Rapidement elle s'empêtre dans une spirale de dissimulation qui réveille en elle un gouffre psychologique. L'envie et le désir de reconnaissance se transforment en obsession.
-
Trente ans après une rupture familiale douloureux, Johanna retourne pour la première fois dans sa ville natale. Un soir, après un verre de vin de trop, elle téléphone à sa mère. Regrettant aussitôt cette main tendue - et aveu de faiblesse - elle est d'autant plus tourmentée lorsque sa mère refuse son appel. Ce refus l'obsède, car une mère ne peut tout de même pas tirer un trait sur son propre enfant ? Quand ses appels répétés restent sans réponse, elle finit par se rendre en bas de son immeuble et attend, la peur au ventre. Jour après jour, elle revient épier sa mère de loin, s'efforçant de réunir suffisamment de courage pour enfin la confronter.
-
À travers le cri d'une femme enfermée dans le «Bâtiment de pierre», Asli Erdogan dénonce la torture et les violences policières que fait subir le gouvernement turc à ses opposants. Malgré la dureté de son sujet, elle offre un chant singulier duquel se dégage une paradoxale et inconcevable douceur. Un texte courageux qui aborde un des grands non-dits de la vie politique turque.
-
Quatre amis, musiciens amateurs, se remettent difficilement, et différemment, de la violente agression dont ils ont été victimes (qui clôt le précédent roman de l'auteur, «Quatuor»). La violence du choc les a dispersés, métamorphosés. Caroline, incapable de tenir un archet, part en Chine pour tenter de briser son apathie. Jochem, son mari, transforme son atelier de luthier et leur maison en forteresses inattaquables. Leurs voix dissonantes retracent pour chacun des personnages les étapes d'un retour à "la normale", de la reconquête de soi. Après le rythme haletant de «Quatuor», un tempo plus lent, plus intime, pour dire les ravages et la désunion que peut provoquer un tel traumatisme, et la reconstruction qui s'ensuit. « »
-
Le couvreur qui travaille sur le toit est d'une grande discrétion. La mère de famille, seule chez elle pendant la journée est impressionnée par la délicatesse de ses pas sur les tuiles. Peu à peu ces deux êtres silencieux font connaissance. Chaque jour, à l'heure du thé, le couvreur se livre davantage et partage sa passion pour les toits des temples bouddhiques comme pour ceux des cathédrales européennes. Puis il évoque la possibilité de partir les visiter en rêve. La dame commence le soir même son apprentissage.
-
Les Hommes de toujours
A. M. Homes
- Actes Sud
- Litterature Anglo-Americaine
- 2 Octobre 2024
- 9782330197988
"L'Amérique est au fond des chiottes et il faut qu'on fasse quelque chose."
Le Gros Bonnet aime sa famille, l'argent et son pays. Défait par les résultats de la présidentielle américaine de 2008, il s'entoure d'hommes d'influence partageant les mêmes valeurs que lui pour récupérer leur rêve américain. Ils sont blancs, quinquagénaires ou plus, patriotes, férus d'histoire et convaincus qu'Obama est la pire chose qui soit arrivée à l'Amérique. Tandis qu'ils établissent un plan visant à perturber le cours des événements, le Gros Bonnet fait face à de fortes turbulences familiales. Sa femme pleure une vie non vécue et sombre peu à peu ; sa fille de dix-huit ans émerge du cocon et commence à comprendre que le monde réel n'est pas tout à fait à l'image de ce que son père lui a enseigné... -
Le Merveilleux Voyage de Nils Holgersson à travers la Suède
Selma Lagerlöf
- Actes Sud
- Litterature Scandinave
- 1 Juillet 2021
- 9782330115999
Remise en vente de l'intégrale (illustrée) du plus célèbre chef-d'oeuvre de la littérature scandinave. Belle édition brochée avec rabats à un prix de vente très accessible. Illustré par Bertil Lybeck.
Traduit du suédois par Lena Grumbach et Marc de Gouvenain.
-
Saison toxique pour les foetus
Vera Bogdanova
- Actes Sud
- Litterature Russe
- 4 Septembre 2024
- 9782330195441
Nous sommes en Russie, la datcha de la grand-mère est toujours le refuge des familles dont parlait Tolstoï, « qui sont malheureuses chacune à sa façon ». Ici les parents ont vu disparaître l'Union soviétique et ont droit, à la place d'un avenir radieux, au capitalisme sauvage et aux attentats terroristes.
Tout commence en 1995, Jénia a onze ans, elle est en vacances chez sa grand-mère où vient aussi son cousin Ilia, qui en a treize. Cinq ans plus tard, ils boivent de l'alcool pour la première fois, se baladent à moto et sortent en boîte... Encore cinq ans et c'est le premier baiser, la certitude d'être faits l'un pour l'autre malgré tous les obstacles. Les temps ont changé, mais pas les mentalités, pas les parents. Il y a aussi Dacha, la petite soeur d'Ilia, mal-aimée par une mère à la beauté ravageuse « qui ne sait pas choisir les hommes » et qui, comme trop de femmes russes, sera victime de violences conjugales exacerbées par l'alcool.
Portrait sans fard d'une époque, paru en 2022, ce roman aux multiples nuances de noir est devenu la référence de la génération Y.
Vera Bogdanova est née en 1986 à Moscou. Autrice de plusieurs romans, traductrice et chroniqueuse littéraire, elle vit aujourd'hui entre la Russie et l'Azerbaïdjan. -
Saint-Pétersbourg 1919 / Paris 1920 : l'histoire d'une cantatrice et de son accompagnatrice. Des relations tourmentées portant la marque des événements qui viennent de bouleverser la Russie.
-
Yasmine, qui avec son fils Naji a quitté Beyrouth pour le sud de la France il y a des années, est sur la piste de Rica, son neveu, localisé dans un centre d'accueil pour réfugiés en Allemagne. Ce jeune homme, autrefois compagnon de jeux de Naji, a été balloté entre le Liban, pays de son père, et le Sénégal, pays de sa mère. Trois personnages désabusés et fantasques, qui tentent de resserrer leurs liens familiaux et de donner un sens à leur existence. br / Après une longue absence, la grande romancière Hanan el- Cheikh revient avec un roman hanté par l'hydre du racisme, vibrant de la douleur de l'exil et d'une passion irrépressible pour la vie, à réinventer sans cesse.
-
Sur près de soixante-dix ans et trois générations, Margaret Wilkerson Sexton relate la saga d'une famille noire et déroule l'histoire de la Nouvelle-Orléans, ville symbole de la fracture sociale et raciale américaine, dans un premier roman puissant et lumineux. Entremêlant les destins d'Evelyn, Jackie et T.C. à des moments charnières de leur existence, elle nous montre que si les temps changent, les problèmes des Afro-Américains restent les mêmes dans un pays toujours malade de ses discriminations.
-
Une jeune chercheuse en physique nucléaire est invitée dans le cadre d'un séminaire aux Caraïbes. Très rapidement elle choisit d'échapper au groupe étriqué rassemblé dans un hôtel de luxe afin d'aller explorer les alentours en errant sur les plages encore sauvages et totalement désertes. C'est là qu'elle rencontre Tony, l'homme coquillage, un être au physique rugueux et quasi effrayant mais dont les cicatrices la fascinent immédiatement. Ce livre est le premier roman d'Asli Erdogan où déjà s'impose la force étrange de ses personnages féminins toujours penchés au bord de l'abîme, flirtant avec la mort et la terreur, toisant la peur.
-
Sara, arrivée d'Inde pour étudier dans une prestigieuse université britannique, résiste à un profond sentiment de solitude en consacrant son temps libre à la poterie. Ces moments de réconfort sont aussi l'occasion de convoquer ses souvenirs d'enfance, marqués par la figure de celui qui lui a enseigné cet art, Elango, un Hindou mis au ban du village parce qu'il est tombé amoureux d'une musulmane.
-
Nourris de légendes suédoises, huit récits de Noël, auxquels le talent de conteuse de Selma Lagerlöf confère un charme incomparable. Un classique enfin à nouveau disponible.
Traduit du suédois par Lena Grumbach et Marc de Gouvenain.
-
"Démolition" est l'histoire d'une jeune femme de près de quarante ans, Alice Augustus, à la fois comblée de succès professionnels et profondément malheureuse dans sa vie intime, qu'elle envisage comme une suite d'échecs. Avec ce roman, Anna Enquist revient à ses fondamentaux : la musique, la médecine, la psychanalyse, dans un récit intense d'une très grande maîtrise.
-
Ce nouveau recueil d'essais de Siri Hustvedt, qui mêle philosophie féministe et mémoire familial, explore les frontières mouvantes qui définissent l'expérience humaine, y compris celles que l'on pense immuables - entre nous et les autres, entre nature et culture, entre spectateur et oeuvre d'art - et qui se révèlent finalement bien plus poreuses qu'on ne l'imaginait.
Siri Hustvedt déploie ses connaissances interdisciplinaires et toute la profondeur de sa pensée dans un recueil qui passe avec une grande aisance des histoires sur sa mère, sa grand-mère et sa fille à celles sur ses mères artistiques - Jane Austen, Emily Brontë et Louise Bourgeois -, avant de s'intéresser à la question du maternel au sens plus large, dans une culture façonnée par la misogynie et les fantasmes d'autorité paternelle. Mères, pères et autres est un voyage éclairé à travers les questions d'amour et de haine au sein de la famille, les préjugés humains, la cruauté et le pouvoir de transformation de l'art.
Ce livre plus personnel, émouvant et féroce, dit en substance ceci : être en vie signifie être dans un état constant et dynamique d'échanges avec ce qui nous entoure, et l'impulsion qui nous pousse à ériger des frontières conceptuelles strictes alors qu'il n'y en a aucune constitue un danger.