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Ce livre est publié en lien avec les 25 ans du Printemps des poètes, du 9 au 25 mars 2024, dont le thème est "La grâce".
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Dans cette fable en trois temps, une famille se trouve confrontée à la question de la foi.
L'enterrement du grand-père, la recherche d'identité du fils face au père, le mariage de la fille aînée et la sortie de son livre autour de l'affaire Calas sont autant de situations où les croyances des uns et des autres prennent de plus en plus de place, même pour ceux qui pensaient de pas être concernés par la religion. Au-delà de la question de la foi surgit une autre dimension, collective, politique.
Autour de la religion et de cette fameuse tolérance qui devrait permettre de vivre ensemble. Jusqu'où la tolérance ?
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Après «La Poésie à l'épreuve de soi», paru en écho au Printemps des Poètes 2018 dédié à L'Ardeur, voici un nouvel opus qui met Le Courage au coeur de l'engagement poétique. Dans les pas de Corneille et de son célèbre "Espère en ton courage", Sophie Nauleau propose un parcours audacieux qui éveille, des troubadours à nos jours, les poèmes qui n'ont pas craint de tenir hardiment parole.
Car il est des poètes qui savent, à l'instar de Victor Hugo, que le mot "est un être vivant" et qu'il convient d'en user en conscience, avec la seule légitimité qui vaille : celle qui témoigne d'une expérience intensément, voire dangereusement, vécue. À l'évidence, le courage n'est pas qu'un simple nom commun, mais une injonction qui oblige, un vivifiant défi à relever. -
La lumière Antigone ; poème pour le livret de l'opéra de Pierre Bartholomée
Henry Bauchau
- Actes Sud
- Le Souffle De L'esprit
- 9 Mars 2009
- 9782742782611
La Lumière Antigone est un livret composé par Henry Bauchau sous la forme d'un long poème. L'auteur entreprit ce travail à la demande du compositeur Pierre Bartolomé avec qui il avait déjà collaboré au texte de son précédent opéra oedipe sur la route.
La Lumière Antigone fut créé au Théâtre Royal de la Monnaie à Bruxelles en 2008. Opéra de chambre, donné par un orchestre de quinze musiciens, cette pièce à deux voix, celles d'Antigone et de Hannah, inspira à Henry Bauchau une écriture poétique dont la métrique est régulière, non pas rimée, mais rythmée pour s'accorder à la musique.
Ecrivain célèbre notamment pour son roman Antigone, Henry Bauchau revient ici à cette figure majeure et archétypale du monde grec. D'une beauté bouleversante, le livret/poème s'ouvre sur un monologue d'Antigone au moment où elle entre en solitude, dans la remémoration, l'interrogation. C'est le premier acte. Le second restitue le dialogue entre Antigone et Hannah, exposé terrible de l'histoire de notre monde. Le troisième acte se constitue du long solo d'Hannah, celle qui a survécu, Antigone ayant disparu.
Henry Bauchau, qui a déjà publié trois recueils de poésie dans la collection "Le Souffle de l'esprit" signe ici un texte d'une haute spiritualité où Antigone, guidée par la fatalité, ne cesse d'éclairer notre propre siècle.
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Auteur metteur en scène avec jérôme deschamps depuis vingt ans, macha makeïeff, au moment de leur nouveau spectacle la cour des grands, dit l'origine de son inspiration, l'émotion des acteurs, livre quelque chose de cet univers de célébration des pauvres choses et des êtres perdus qui donnent toute la couleur aux mises en scène de ce duo associé par l'imaginaire.
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Pour une édition russe, parue aux Etats-Unis en 1984, Nina Berberova avait sélectionné une centaine de poèmes parmi ceux qu'elle avait écrits entre 1921 et 1983.
Après quoi, à l'en croire, elle avait sans remords détruit tous les autres, ce que le dépouillement de ses archives paraît confirmer. C'est la même et sévère sélection qu'avant sa mort elle retint pour la composition de la présente " anthologie personnelle " dont le projet lui était soumis. Et en guise de préface, elle suggéra de rassembler des extraits de son autobiographie, C'est moi qui souligne, extraits qu'elle désigna comme " souvenirs en poésie ".
Ces fragments, on les retrouvera donc ici rassemblés, qui font voir une jeune fille véritablement propulsée dans la vie par la poésie, et par elle animée d'une force qui la rendait capable d'affronter son terrible destin. Mais on ne manquera pas d'observer que ces souvenirs s'interrompent en 1922 - l'année où Nina Berberova rencontre Vladislav Khodassevitch et avec lui quitte la Russie -, alors même que les poèmes survivants, à l'exception des cinq premiers, sont tous postérieurs à cette date.
Comme s'il était un temps pour parler de la poésie, et un autre pour s'y enfermer, s'y réfugier ou lui confier la parole qui n'a pas d'asile ailleurs.