Filtrer
Support
Éditeurs
Prix
Flammarion
-
Dans la bonne société new-yorkaise de la fin du xixe siècle, où les conventions sociales sont sacro-saintes et où règne la quête permanente du « bon ton », le jeune Newland Archer s'apprête à épouser la respectable May Welland. Mais l'arrivée de la comtesse Ellen Olenska, séparée de son époux dans des circonstances jugées scandaleuses, ébranle les certitudes de Newland, attiré par cette femme en décalage avec son milieu.
Plus qu'une énième histoire d'amour impossible, Le Temps de l'innocence (1920) est le récit d'une libération manquée, entravée par les lois du clan. Avec une modernité déconcertante pour son époque, Edith Wharton peint la violence des passions refoulées, mises en lumière par le personnage d'Ellen, qui bouleverse les moeurs figées du « vieux New York ».
DOSSIER
- La satire d'une communauté.
- La communauté en péril.
- Tout change, rien ne change. -
Londres, 1923. Par une claire matinée de juin, Clarissa Dalloway, qui donne une fête dans la soirée, sort acheter des fleurs. À la faveur de sa promenade, elle se laisse imprégner par tout ce qui l'entoure, sillonne les rues et remonte le temps. Tandis que les impressions affluent, elle se souvient d'un été à Bourton, où sa vie a basculé...Dans ce roman du temps vécu où les voix et les époques s'entremêlent, Virginia Woolf décrit des existences hantées par le spectre de l'histoire et de la guerre, ou menacées par la folie. Mais entre les ruines de la tradition et les bouleversements de la modernité, Mrs Dalloway (1925) fait le pari qu'il est possible de vivre l'instant présent, ce moment «où toutes les choses arrivent ensemble».Dossier1. Clarissa Dalloway : la fabrique d'un personnage2. Le roman woolfien ou comment saisir le temps vécu3. Écrire dans l'entre-deux-guerres : la fracture du temps linéaire4. L'avant-garde moderniste et la représentation du temps.
-
Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne
Olympe de Gouges
- Flammarion
- Gf
- 26 Février 2025
- 9782080471239
La participation active des femmes durant la Révolution, aux côtés de nombreux hommes, est aujourd'hui reconnue.Contre Marat, et surtout contre Robespierre, se dresse Olympe de Gouges. Elle gagne Paris au début des années 1770, commence à écrire et ne s'arrête plus. Roman épistolaire, pièces de théâtre, conte philosophique, lettres, brochures, affiches et sa célèbre Déclaration : elle s'essaie à tous les genres en une écriture engagée, aux allures de fuite en avant, prête à mourir pour ses idées modérées qui la conduiront à la guillotine.La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne reflète dans ses différentes parties la richesse saisissante de l'oeuvre d'Olympe de Gouges et porte jusqu'à notre siècle la voix d'une révolutionnaire enthousiaste. Pierre angulaire du combat pour l'égalité entre les hommes et les femmes, ce texte redécouvert au début du XXe siècle continue de stimuler nos débats.Dossier1. La voix, la force et la cause publiques : l'égalité en partage2. L'égalité : entre violence et modération3. Liberté, Égalité, Humanité4. Des écrits et des actes.
-
Fusionnels depuis leur naissance, les jumeaux Landry et Sylvinet sont brutalement séparés à l'adolescence, lorsque Landry part travailler dans la ferme du père Caillaux. Abattu par la maladie et la jalousie, croyant son frère heureux sans lui, Sylvinet disparaît un jour sans prévenir personne. C'est en partant à sa recherche que Landry fait la rencontre de la jeune Fanchon. Dans le pays superstitieux du Berry, où l'on croit aux sorcières et aux farfadets, cette fille à l'allure farouche et à l'esprit libre effraie les villageois, qui la rejettent. Mais, très vite, l'amour qui naît entre Landry et la Petite Fadette efface un à un tous les préjugés. Dans ce récit lumineux de l'éveil à l'amour, George Sand brosse le portrait d'une héroïne pleine de fierté et fait l'éloge des joies simples, explorant la nature comme elle explore le langage.
-
-
la publication de l'origine des espèces, en 1859, a marqué une révolution intellectuelle comparable à celle qui est associée aux noms de copernic et galilée.
en proposant une théorie de la " descendance avec modification " et de la " sélection naturelle ". darwin apportait des réponses aux questions qui préoccupaient les naturalistes de son époque. le caractère radical de ces réponses aussi bien que les problèmes qu'elles laissaient en suspens ont alimenté d'emblée polémiques et controverses. de là les ajouts et les digressions qui, au gré des six éditions successives de l'oeuvre, en vinrent à obscurcir le propos d'origine.
en élaguant la traduction d'edmond barbier de ce qui ne figurait pas dans l'édition de 1859 et en y rétablissant ce qui en avait disparu, le présent volume permet au lecteur francophone de retrouver cette oeuvre dans sa fraîcheur initiale.
-
Le Malaise dans la culture est le plus " philosophique " des écrits du fondateur de la psychanalyse.
Ce petit livre, publié en 1930, est en effet le seul véritable exposé de la conception de la réalité sociale et de la philosophie politique de Freud. Son diagnostic en a troublé plus d'un - la culture s'efforce d'endiguer l'irréductible agressivité humaine sans jamais remporter de victoire décisive -, et l'on a voulu y voir la preuve du pessimisme d'un vieil homme rongé par la maladie et rattrapé par l'histoire.
Bien au contraire, en leur montrant qu'ils n'ont rien à attendre d'un retour à la ,nature", d'une société sans classes ou encore d'un paradis régi par les lois du marché, Freud délivre les hommes de leur dernière chaîne : celle qui les liait à la croyance et à l'espoir. Contrairement à ce qu'a dit Dante, ce n'est pas en enfer que l'on entre quand on abandonne toute espérance, mais dans le royaume de la liberté où l'illusion n'a plus cours.
-
En publiant un unique livre en 1555, Louise Labé a fait entendre une voix nouvelle. Un dialogue mythologique insolent et facétieux, trois élégies et vingt-quatre sonnets, le tout précédé d'une saisissante épître programmatrice et suivi de vingt-quatre poèmes de «divers Poètes» en son honneur : autant de manières de renouveler les représentations de l'amour transmises par la littérature et la société et de revendiquer pour les femmes le droit de penser et d'écrire.Cette nouvelle édition intégrale des Oeuvres de Louise Labé Lyonnaise donne à entendre cette voix pour les lecteurs d'aujourd'hui, notamment grâce à une double annotation qui éclaire à la fois les subtilités lexicales et les références d'une écriture originale et puissante. Dossier 1. La fabrique des «Écrits de divers Poètes» 2. Qui a participé aux Oeuvres de Louise Labé Lyonnaise ? 3. Dans l'atelier des sonnets : les sonnets II et III 4. Chronologie : Louise Labé à travers les archives 5. L'histoire du livre et de sa réception.
-
L'illusion à laquelle Freud s'attaque ici est la religion. Selon le père de la psychanalyse, nous avons créé les dieux, la Providence et la morale divine pour répondre au désir archaïque et infantile d'être rassurés - contre l'incompréhensibilité du monde, l'angoisse de la mort et la violence des rapports humains. Toutefois, la religion n'a rendu les hommes ni plus moraux ni plus heureux. Pour Freud, elle a fait son temps : grâce à la science, l'humanité va sortir de l'enfance, et l'illusion s'écroulera.
Mais sur quoi fonder alors la moralité ? En privant l'homme des croyances religieuses, ne risque-t-on pas de basculer dans le chaos ? Enfin, la science n'apparaît-elle pas elle-même comme un nouvel objet de croyance ?
-
Issue du milieu oisif et fortuné de la haute société newyorkaise, Edith Wharton est l'une des autrices les plus importantes du début du XX? siècle. Liées entre elles par une terrible glaise où se conjuguent les strates du passé, du non-dit et du manque, les nouvelles ici rassemblées sont hantées par tout ce qui menace de détraquer la machine sociale : passions, vices, ambitions mal gouvernées... Cet ensemble de nouvelles, qui s'étend sur toute la carrière d'Edith Wharton, offre un aperçu saisissant des diverses facettes de l'autrice, qui a rarement mieux joué de son pouvoir d'émotion et de son humour cruel. Ce volume contient : Atrophie - Autres temps - Le Dernier Atout - L'Ange près de la tombe - D'après Holbein - Graine de grenade - Fièvre romaine.
-
Mémoires de la vie de Henriette-Sylvie de Molière
Marie-Catherine de Villedieu
- Flammarion
- Gf
- 29 Janvier 2025
- 9782080423245
«Je ne cacherai rien, non pas même des plus folles aventures où j'aurai eu quelque part », déclare Henriette-Sylvie de Molière au début de ses Mémoires (1672-1674). Et elle tient parole : l'histoire de sa vie est un tourbillon d'intrigues, de déguisements, de feux allumés à chaque passage d'une héroïne qui se dit « naturellement badine » et qui a l'art de se défaire des amants importuns. Il en résulte un roman d'un humour et d'une audace fort peu classiques, qui donne à penser sur les notions de liberté et de respect des femmes, ainsi que sur une éthique naturelle de la galanterie. L'autrice, grand nom de son temps, invente là le premier roman-mémoires de la littérature française : il sera une source d'inspiration capitale pour Marivaux et Prévost au XVIII? siècle.
-
Une pièce sombre où l'héroine pousse un homme à sa perte avant de se tuer elle-même.
-
"Tout est foutu ! J'ai trente ans !" J'ai simplement voulu dire que lorsqu'une femme d'un certain âge a une liaison avec un très jeune homme, elle risque moins que lui d'en demeurer marquée ineffaçablement. Lui, il a beau faire, à travers toutes les liaisons qui suivront, il ne pourra manquer d'évoquer le souvenir de la vieille maîtresse.
-
Paris, 1851. Madame de Blossac, une ambitieuse que ses ennemis surnomment «Lady Tartuffe», tisse des intrigues machiavéliques pour se faire épouser du maréchal d'Estigny tout en orchestrant la chute de Jeanne, ingénue qui a le malheur de susciter sa jalousie. Car madame de Blossac est en réalité secrètement amoureuse d'Hector de Renneville, promis à Jeanne... Poète prodige et célèbre chroniqueuse de son temps, Delphine de Girardin a aussi été une dramaturge de renom : dans la comédie en prose Lady Tartuffe (1853), elle brocarde les moeurs aristocratiques et la philanthropie de façade que pratiquent les élites. Mais plus qu'une satire, cette pièce, qui connut un beau succès, est aussi une évocation subtile de la condition féminine de l'époque, où les femmes sans fortune doivent déployer des trésors d'inventivité pour gagner leur place au soleil. DOSSIER - Contexte, création, réception - Rachel, une vedette à l'âge romantique - Delphine de Girardin journaliste.
-
Au début du XXe siècle, un groupe de passagers londoniens embarque pour l'Amérique du Sud. Parmi eux, la fille de l'armateur, Rachel, s'éloigne pour la première fois de la bonne société anglaise et part à la rencontre du monde et d'elle-même. Au cours de ce voyage, elle découvre des paysages exotiques et des lieux inconnus, mais elle reste poursuivie par l'univers étriqué qu'elle cherche à fuir. Buvant le thé et dissertant de littérature, ce beau monde cultivé ne parvient jamais à voir au-delà des règles de la bienséance qui oppressent Rachel.Ce premier roman de Virginia Woolf est un miroir de l'évolution de son auteure, jusque dans la fascination pour l'eau et la mort, qui finira par la rattraper tragiquement. Mais au-delà de l'autobiographie, La Traversée des apparences pose un monde qui restera celui de Woolf tout au long de son oeuvre : un univers régulé dans lequel une héroïne, qu'elle s'appelle Rachel ou Clarissa Dalloway, étouffe et cherche sans cesse à trouver du sens, à regarder autrement pour se sauver.
-
«La psychologie de Balzac atteint ici à des perspectives qu'on croirait à tort réservées au seul Dostoïevski. Dès le début de ce roman, de lignes épurées et simples, aux personnages peu nombreux, à l'unité de lieu rigoureuse, aux scènes minutieusement découpées, amenées de longue main avec un art infini [...] et qui est sans doute de tous les romans de Balzac l'un de ceux qui s'approchent le plus étrangement par certains côtés de la tragédie racinienne, Balzac nous fait entendre fortement qu'il ne saurait y avoir de tragédie véritable sans la conjuration de ces forces obscures que les écrivains classiques nomment fatalité, mais que lui, Balzac, fidèle à son sens galvanique de l'homme, à sa croyance instinctive en la toute-puissance de la volonté, nous révèle ici n'être rien d'autre qu'un profond, un radical goût du malheur.» Julien Gracq Préface de Julien Gracq Notice et notes par Vincenette Claude Pichois Chronologie par Pierre Barbéris
-
L'homme Moïse et la religion monothéiste
Sigmund Freud
- Flammarion
- Gf ; Philosophie
- 11 Septembre 2019
- 9782081482029
C'est écrit dans la Bible : Moïse est un Hébreu, recueilli par une princesse égyptienne. Il deviendra, sur ordre du dieu des Hébreux, le premier législateur du peuple juif. Freud bouleverse ce roman historique, en émettant deux hypothèses radicales : Moïse n'est pas un Hébreu mais le fils d'un noble égyptien - un étranger, donc ; le dieu juif est né de la fusion de deux figures divines, le dieu unique du pharaon égyptien Akhenaton et le cruel dieu des volcans d'un peuple sémite voisin. En cela, Freud s'en prend aux fondements mêmes de la conscience de soi du peuple juif, qui plus est dans le contexte tragique du triomphe du nazisme.
Dernier livre de Freud, le Moïse (1939) a longtemps été considéré comme un ouvrage non psychanalytique, alors qu'il est une pièce essentielle de sa doctrine. Il y parachève son approche critique de la religion, commencée avec Totem et tabou et L'Avenir d'une illusion. Il y formule, en outre, une théorie générale de la croyance. Enfin, en proposant une lecture psychanalytique de l'histoire et de la religion, il autorise la psychanalyse à outrepasser les limites de l'âme individuelle.
-
Films d'action, jeux vidéo, faits divers criminels, harcèlement, catastrophes naturelles, conflits armés : la violence traverse nos sociétés de part en part. Cette évidente omniprésence ne doit pourtant pas masquer la complexité d'une notion délicate à définir, aux frontières ténues avec les idées de force, de puissance, d'autorité. Faut-il distinguer violence physique et violence morale ? Toute atteinte corporelle relève-t-elle nécessairement de la violence ? Peut-on mettre sur le même plan la violence exercée par un tyran sur ses sujets et celle de la révolution qui les en libérera, autrement dit existe-t-il une violence constructrice et juste ? En scrutant tour à tour ses origines, ses manifestations diverses, sa légitimité, les penseurs qui se sont intéressés à la violence - philosophes antiques, théoriciens du droit naturel, anthropologues, sociologues... - n'interrogent rien de moins que la bestialité et la cruauté radicale de l'homme, ainsi que les fondements de la vie en société. Cette anthologie rassemble les plus grands textes sur la violence, de Platon à Derrida, en passant par Machiavel, Spinoza, Hobbes, Kant, Clausewitz, Nietzsche, Gandhi, Hannah Arendt, Michel Foucault, Konrad Lorenz ou encore René Girard.
-
Délaissant les constructions savantes et les méandres narratifs de ses précédents ouvrages, Anne Calas a suivi pour ce nouvel ensemble une pente très douce, mieux apte à traduire les nuances d'un paysage intérieur et extérieur dont le trouble reste entier mais qui semble tout de même plus apaisé que dans ses premiers livres. Composées de courtes séquences, de scènes esquissées comme autant d'aquarelles verbales, ces pages laissent entrevoir les éclats d'un monde physique et mental dont la beauté fragile, immédiate, serait saisie avant l'embrasement par la grâce d'une écriture à la transparence trompeuse, qui désigne et préserve son mystère d'un même élan. Dans ses déclinaisons subtiles et son dialogue avec le monde visible (et invisible), c'est bien d'une quête qu'il s'agit, ou tout au moins d'une avancée : vers une clarté plus secrète dont la poésie est ici le sujet - ou l'enjeu.
-
«Je crois que Musset nous séduisit d'abord par sa crânerie de gamin de génie. [...] Puis, lorsque nous fûmes gagnés par ses côtés tapageurs, la profonde humanité qu'il dégage acheva de nous conquérir. Il n'était pas seulement le gamin de génie, notre frère à tous qui avions seize ans ; il nous apparut si profondément humain que nous entendîmes battre nos coeurs sur la cadence de ses vers. Alors il devint notre religion. Par-dessus ses rires et ses farces d'écolier, ses larmes nous gagnèrent ; et il ne fut ainsi tout à fait notre poète que lorsque nous pleurâmes en le lisant.» Émile Zola. Cette édition reproduit l'intégralité des Premières Poésies publiées en 1854 - la dernière édition du vivant de Musset-, y compris les trois pièces de théâtre en vers que Musset n'a jamais publiées dans son théâtre.
-
Nature, culture et société ; les structures élémentaires de la parenté, chapitres I et II
Claude Lévi-Strauss
- Flammarion
- Gf
- 2 Septembre 2015
- 9782081366695
Rsoudre les nigmes poses par les rgles du mariage aux ethnologues, notamment celle de la prohibition de l'inceste, telle est la tche que se proposaient initialement Les Structures lmentaires de la parent. Les deux chapitres introductifs, objets de la prsente dition, n'en abordent pas moins des questions philosophiques cruciales : o finit la nature et o commence la culture ? quelles sont les parts respectives de chacune en l'homme ? comment l'homme se distingue-t-il, sous ce rapport, de l'animal ?C'est ainsi du point de vue de l'ethnologie que le texte de Claude Lvi-Strauss apporte matire et mthode la rflexion philosophique.
-
Phedre - interview eliette abecassis, pourquoi aimez-vous phedre ?
Racine Jean
- Flammarion
- Gf
- 24 Août 2009
- 9782081229129
Phèdre aime Hippolyte, amoureux d'Aricie. Mais Phèdre est l'épouse de Thésée, le père d'Hippolyte... Tragédie qui fait apparaître la passion comme un sentiment fatal et destructeur. Avec un dossier sur le mythe et la tragédie antique et sur la création de Phèdre sur la scène française.
-
I. Les diverses options spirituelles II. Religion et politique : une liaison dangereuse III. La raison contre l'oppression IV. Valeurs et principes de la laïcité V. L'État émancipé : la séparation laïque VI. La laïcité de l'école publique Corpus Augustin Averroès Bayle La Bible Camus Condorcet Constant Le Coran Descartes D'Holbach Les Droits de l'Homme Ferry Feuerbach Hugo Hume Jaurès Kant Kintzler Lamennais Las Cases Lemire Locke Loi du 9 décembre 1905 Lucrèce Pascal Pie IX Platon Rabaut Saint-Étienne Rousseau Séailles Spinoza Stuart Mill Thomas d'Aquin Voltaire Weber Vade-mecum Communautarisme Concordat Culture Fondamentalisme Laïcité Liberté de conscience Neutralité Privé/public Secte Sécularisation Séparation Tolérance