Depuis la fin des années 1970, Silvia Bächli développe une oeuvre dessinée basée sur des moyens volontairement réduits : papiers, gamme allant du gris pâle au noir profond, vocabulaire formel oscillant entre abstraction et figuration, mais lié à une certaine réalité. Ses dessins sont isolés, ou font partie de grandes installations dans lesquelles le blanc des murs relie les feuilles.