Chaque planche, prépubliée dans L'Obs, met en scène une anecdote réelle racontée à Riad Sattouf par la vraie Esther (une véritable petite fille dont le prénom a été changé). Un recueil sera publié chaque année, jusqu'aux 18 ans d'Esther.
Dans ce troisième tome, Esther entre en sixième ! L'élection présidentielle, son premier téléphone portable, Manuela son hamster, l'arrivée de l'acné, son frère complotiste, son père mélenchoniste, sa mamy lepéniste, le président Macron l'Illuminati ou son amour pour la galette saucisson-abricot... Esther grandit, c'est l'année de ses 12 ans !
Esther entre en troisième ! C'est l'année de ses 15 ans.
Elle est en couple avec Abdelkrim (c'est privé, désolé), se paie des délires de ouf avec ses meufs Éva et Léa, se prend la tête avec des redoublantes trop féminines, organise sa première grande soirée d'anniversaire (avec de l'alcool, oui de l'alcool), expérimente la cigarette et crée (enfin) son profil Instagram, qui attire immanquablement les psychopathes.
Puis tout est chamboulé par l'arrivée du coronavirus, qui était censé être une grippette... C'est le confinement. Entre ses cours en visio, son père stressé par la pénurie de masques et de gel hydroalcoolique, sa mère en télétravail et son frère complotiste fan de Didier Raoult, le quotidien d'Esther est bouleversé... Mais pleine d'optimisme, elle imagine son «?monde d'après?».
LA SÉRIE :
La série Les Cahiers d'Esther a été initiée par Riad Sattouf en 2015 avec une idée un peu folle : se faire le porte-voix d'une jeune fille d'aujourd'hui pour assister, année après année, à ses transformations, et montrer l'évolution de notre société à travers ses yeux.
Chaque semaine, la jeune fille anonyme qui se cache derrière Esther se confie à Riad Sattouf. Elle lui raconte son quotidien, ses états d'âme, sa vision du monde. Riad Sattouf les met ensuite en mots et en images pour composer une planche de bande dessinée, prépubliée dans L'Obs. Les planches correspondantes à une année scolaire sont réunies en albums.
Histoires d'enfants pas forcément pour les enfants, témoignage sur notre époque. Le lecteur embarque pour un voyage quelque peu agité : suivre, pendant neuf ans, les métamorphoses d'une enfant en adulte.
La série Les Cahiers d'Esther est adaptée par Riad Sattouf en dessin animé. Les deux premières saisons ont été diffusées sur Canal+ et sont disponibles sur YouTube.
Après La Vie secrète des jeunes, la nouvelle chronique de notre époque par Riad Sattouf, prépubliée dans L'Obs.
Écrits d'après les histoires vraies d'Esther A.*, Les Cahiers d'Esther nous plongent dans le quotidien d'une fille de 10 ans qui nous parle de son école, ses amis, sa famille, ses idoles.
Que sont Tal, Kendji Girac ou bien les têtes brûlées ?
Quels sont les critères de beauté que doivent avoir les garçons et les filles pour être populaires ? Comment fait-on quand on a des copines plus riches que soi ?
Qu'est-ce que le petit pont massacreur ?
Comment les attentats du 7 janvier ont-ils été vécus dans la classe d'Esther ?
Comment faire quand on a peur d'avoir des gros seins ?
En cinquante-deux pages qui sont autant de saynètes sur un thème à chaque fois différent, Esther nous raconte sa vie et son époque. Ce qu'elle ne dit pas à ses parents, elle le raconte dans ce journal intime, tour à tour drôle et émouvant, tendre et cruel : un portrait de la jeunesse d'aujourd'hui et un miroir de notre société.
*Les noms des vraies personnes ont été modifiés !
Les Cahiers d'Esther sont écrits d'après les histoires vraies racontées chaque semaine à Riad Sattouf par une véritable écolière, Esther A. Chaque album comprend 52 histoires, pour les 52 semaines de l'année. Le projet de Riad Sattouf est de suivre la vie d'Esther de ses 10 ans jusqu'à ses 18 ans, au rythme d'un album par an.
Dans ce deuxième tome, Esther est en CM2. Elle raconte la naissance de son petit frère, les attentats, les garçons dont elle est amoureuse, les discussions sur Dieu avec sa meilleure amie, sa maîtresse naine, sa mère qui a grossi, son grand frère débile et son père ce héros... C'est l'année de ses 11 ans !
En 2018, Diégane Latyr Faye, jeune écrivain sénégalais, découvre à Paris un livre mythique, paru en 1938 : Le labyrinthe de l'inhumain. On a perdu la trace de son auteur, qualifié en son temps de « Rimbaud nègre », depuis le scandale que déclencha la parution de son texte. Diégane s'engage alors, fasciné, sur la piste du mystérieux T.C. Elimane, se confrontant aux grandes tragédies que sont le colonialisme ou la Shoah. Du Sénégal à la France en passant par l'Argentine, quelle vérité l'attend au centre de ce labyrinthe ?
Sans jamais perdre le fil de cette quête qui l'accapare, Diégane, à Paris, fréquente un groupe de jeunes auteurs africains : tous s'observent, discutent, boivent, font beaucoup l'amour, et s'interrogent sur la nécessité de la création à partir de l'exil. Il va surtout s'attacher à deux femmes : la sulfureuse Siga, détentrice de secrets, et la fugace photojournaliste Aïda...
D'une perpétuelle inventivité, La plus secrète mémoire des hommes est un roman étourdissant, dominé par l'exigence du choix entre l'écriture et la vie, ou encore par le désir de dépasser la question du face-à-face entre Afrique et Occident. Il est surtout un chant d'amour à la littérature et à son pouvoir intemporel.
Ça y est, Esther est ado !
Son appareil dentaire ; #BalanceTonPorc ; ses rêves barrés ; Folla la folle , Ben, son petit ami secret ; xxxTentacion ; ses copines ; sa famille... Dans ce quatrième tome Esther a 13 ans, est en cinquième et entre dans l'adolescence.
LA SÉRIE La série Les Cahiers d'Esther a été? initiée par Riad Sattouf en 2015 avec une idée un peu folle : se faire le porte-voix d'une jeune fille d'aujourd'hui pour assister, année après année, à ses transformations, et montrer l'évolution de notre société? à travers ses yeux.
Chaque semaine, la jeune fille anonyme qui se cache derrière Esther se confie à Riad Sattouf. Elle lui raconte son quotidien, ses états d'âme, sa vision du monde. Riad Sattouf les met ensuite en mots et en images pour composer une planche de bande dessinée, prépubliée dans L'Obs.
Les planches correspondantes à une année scolaire sont réunies en albums.
Histoires d'enfants pas forcément pour les enfants, témoignage sur notre époque : le lecteur suit, pendant neuf ans, les métamorphoses d'une enfant en adulte.
En France, les trois premiers albums ont été adaptés en série animée sur Canal + À voir et à revoir sur MyCanal et la chaîne You Tube des Cahiers d'Esther.
Riad Sattouf continue de croquer l'adolescence comme nul autre. ELLE Un magnifique ethnographe de la vie ordinaire. Libération Le nouveau Petit Nicolas ! Europe 1 Prix Max und Moritz 2018, prix de bande dessinée le plus ancien et le plus prestigieux du monde germanophone.
Je ne suis pas certaine d'avoir pleinement saisi ce qui m'est arrivé, ni ce qui m'a conduite à agir comme je l'ai fait. Certains matins, tout me semble limpide. À d'autres moments, je me vois comme un monstre, une créature que je ne reconnais pas, qui m'aurait possédée dans un instant de vulnérabilité. Mais je crois que cette image vient du regard des autres.
J'ai fait ce que je pouvais.
Il n'y a pas de morale à cette histoire. Tout ce que je sais, c'est que je vous dois les faits. Je vais donc m'attacher à les relater pour vous, et sans doute aussi pour moi, avec toute la précision dont je suis capable. Ils m'emmèneront sur des territoires obscurs, dans les marécages de ma conscience et, pour quelques secondes encore, contre la peau de M.
Qu'elles vendent des grimoires sur Etsy, postent des photos de leur autel orné de cristaux sur Instagram ou se rassemblent pour jeter des sorts à Donald Trump, les sorcières sont partout. Davantage encore que leurs aînées des années 1970, les féministes actuelles semblent hantées par cette figure. La sorcière est à la fois la victime absolue, celle pour qui on réclame justice, et la rebelle obstinée, insaisissable. Mais qui étaient au juste celles qui, dans l'Europe de la Renaissance, ont été accusées de sorcellerie ? Quels types de femme ces siècles de terreur ont-ils censurés, éliminés, réprimés ?
Ce livre en explore trois et examine ce qu'il en reste aujourd'hui, dans nos préjugés et nos représentations : la femme indépendante - puisque les veuves et les célibataires furent particulièrement visées ; la femme sans enfant - puisque l'époque des chasses a marqué la fin de la tolérance pour celles qui prétendaient contrôler leur fécondité ; et la femme âgée - devenue, et restée depuis, un objet d'horreur. Enfin, il sera aussi question de la vision du monde que la traque des sorcières a servi à promouvoir, du rapport guerrier qui s'est développé alors tant à l'égard des femmes que de la nature : une double malédiction qui reste à lever.
Devant la chute drastique de la fécondité, la république de Galaad, récemment fondée par des fanatiques religieux, a réduit au rang d'esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de rouge, Defred, servante écarlate parmi d'autres à qui l'on a ôté jusqu'à son nom, met donc son corps au service de son Commandant et de sa femme. Le soir, dans sa chambre à l'austérité monacale, elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, de travailler... En rejoignant un réseau clandestin, elle va tout tenter pour recouvrer sa liberté.
Paru en 1985, La Servante écarlate est aujourd'hui un classique de la littérature anglo-saxonne et un étendard de la lutte pour les droits des femmes. Si la série adaptée de ce chef-d'oeuvre a donné un visage à Defred, celui d'Elisabeth Moss, cette nouvelle traduction révèle toute sa modernité ainsi que la finesse et l'intelligence de Margaret Atwood. La Servante est un roman polysémique, empli de références littéraires et bibliques, drôle même... et c'est à nous, lecteurs, de découvrir ses multiples facettes.
C'est un mariage arrangé comme il en existait tant au XIXe siècle. Désormais loin de sa famille, Aimée apprend la solitude des longues journées de silence. Sa vie bascule lorsqu'elle découvre le secret que cache Candre, son mari, à propos de la mort de sa première épouse. Aimée se retrouve seule en sa demeure, perdue dans la forêt. Tout devient menaçant : les murs hantés, les cris d'oiseaux la nuit, l'emprise d'Henria, la servante. Jusqu'au jour où apparaît Émeline...
Le domaine se transforme alors en un théâtre de non-dits, de désirs et de secrets enchâssés.
Après le triomphe de Une bête au Paradis, le huitième roman de Cécile Coulon, romancière prodige, est un thriller sensuel et envoûtant, qui nous obsède jusqu'à la dernière page.
« Un thriller sur l'amour et le désir. » François Busnel « Brillant et surprenant ! » Lire
?Ils sont frère et soeur. Quand l'histoire commence, ils ont dix-neuf et treize ans.
Cette histoire tient en quelques mots, ceux que la cadette, témoin malgré elle, prononce en tremblant : " Papa vient de tuer maman. " Passé la sidération, ces enfants brisés vont devoir se débrouiller avec le chagrin, la colère, la culpabilité. Et remonter le cours du temps pour tenter de comprendre la redoutable mécanique qui a conduit à cet acte.
Avec pudeur et sobriété, ce roman, inspiré de faits réels, raconte, au-delà d'un sujet de société, le long combat de deux victimes invisibles pour réapprendre à vivre.
Nombre de femmes et d'hommes qui cherchent l'épanouissement amoureux ensemble se retrouvent très démunis face au troisième protagoniste qui s'invite dans leur salon ou dans leur lit : le patriarcat. Sur une question qui hante les féministes depuis des décennies et qui revient aujourd'hui au premier plan de leurs préoccupations, celle de l'amour hétérosexuel, ce livre propose une série d'éclairages.
Au coeur de nos comédies romantiques, de nos représentations du couple idéal, est souvent encodée une forme d'infériorité féminine, suggérant que les femmes devraient choisir entre la pleine expression d'elles-mêmes et le bonheur amoureux. Le conditionnement social, qui persuade les hommes que tout leur est dû, tout en valorisant chez les femmes l'abnégation et le dévouement, et en minant leur confiance en elles, produit des déséquilibres de pouvoir qui peuvent culminer en violences physiques et psychologiques. Même l'attitude que chacun est poussé à adopter à l'égard de l'amour, les femmes apprenant à le (sur ?) valoriser et les hommes à lui refuser une place centrale dans leur vie, prépare des relations qui ne peuvent qu'être malheureuses. Sur le plan sexuel, enfin, les fantasmes masculins continuent de saturer l'espace du désir : comment les femmes peuvent-elles retrouver un regard et une voix ?
Excepté mes démangeaisons inexpliquées et ma passion dévorante pour mon mari, ma vie est parfaitement normale.
Elle a la vie dont elle rêvait : une belle maison, deux enfants, l'homme idéal. Après quinze ans de vie commune, elle ne se lasse pas de dire : Mon mari ! Pourtant elle veut plus encore : il faut qu'ils s'aiment comme au premier jour. Alors elle s'impose une discipline de fer pour entretenir la flamme. Elle l'observe, note ses fautes, tend des pièges, le punit en conséquence. Elle est follement amoureuse de lui. Jusqu'au jour où, évidemment, elle va trop loin... Véritable phénomène, sélectionné par plus de 10 prix littéraires, finaliste du prix Médicis, lauréat du prix du Premier Roman, Mon mari est un livre irrésistible - dérangeant, tendu, drôle et grinçant - qui a déjà conquis 80 000 lecteurs et a été traduit dans une dizaine de pays.
Un délice irrésistible. Amélie Nothomb Si réussi qu'il donne envie de le relire aussitôt. Jérôme Garcin - L'Obs Un pur régal, foncez ! Arnaud Viviant - France Inter Un thriller absolument fascinant, impossible à lâcher. Oprah Winfrey
De son écriture imperturbablement habitée par la sensualité des odeurs et de la matière, Laurine Roux, dans L'Autre Moitié du monde, s'éloigne à petits pas des univers oniriques qu'on lui connaissait pour se faire l'archéologue sensible d'une épopée collective qui emporte les individus.
Espagne, début des années 1930. Des paysans s'éreintent dans les rizières du delta de l'Èbre pour le compte de doña Serena, une marquise impitoyable, mère d'un jeune garçon cruel et lubrique. Sous son joug, les employés arrachent les rares joies qu'autorise la fraternité de la misère.
Parmi eux grandit Toya, gamine ensauvagée qui connaît les salines comme sa poche. Quand un instituteur s'installe dans le delta, apportant avec lui ses idéaux révolutionnaires et son amour de la musique, la jeune fille s'éveille aux sentiments en même temps qu'à l'esprit de la révolte. Si bien qu'en 1936, lorsque éclate la Guerre civile, c'est à corps perdu qu'elle se jette dans l'expérience libertaire, avec son lot d'espérances folles et de désenchantements féroces. Sans soupçonner à quel point son destin aura dorénavant partie liée avec l'histoire d'une Espagne que le franquisme s'apprête à faire basculer.
De son écriture imperturbablement habitée par la sensualité des odeurs et de la matière, Laurine Roux, dans L'Autre Moitié du monde, s'éloigne à petits pas des univers oniriques qu'on lui connaissait pour se faire l'archéologue sensible d'une épopée collective qui emporte les individus.
Fruit des amours d'un dieu et d'une mortelle, Circé la nymphe grandit parmi les divinités de l'Olympe. Mais son caractère étonne. Détonne. On la dit sorcière, parce qu'elle aime changer les choses. Plus humaine que céleste, parce qu'elle est sensible. En l'exilant sur une île déserte, comme le fut jadis Prométhée pour avoir trop aimé les hommes, ses pairs ne lui ont-ils pas plutôt rendu service ? Ici, l'immortelle peut choisir qui elle est. Demi-déesse, certes, mais femme avant tout. Puissante, libre, amoureuse...
Inspiré d'un fait-divers survenu en 1856, Beloved exhume l'horreur et la folie d'un passé douloureux. Sethe est une ancienne esclave qui, au nom de l'amour et de la liberté, a tué l'enfant qu'elle chérissait pour ne pas la voir vivre l'expérience avilissante de la servitude. Quelques années plus tard, le fantôme de Beloved, la petite fille disparue, revient douloureusement hanter sa mère coupable. Loin de tous les clichés, Toni Morrison ranime la mémoire, exorcise le passé et transcende la douleur des opprimés.
La villa est magnifique, l'été brûlant, la Méditerranée toute proche. Cécile a dix-sept ans. Elle ne connaît de l'amour que des baisers, des rendez-vous, des lassitudes. Pas pour longtemps. Son père, veuf, est un adepte joyeux des liaisons passagères et sans importance. Ils s'amusent, ils n'ont besoin de personne, ils sont heureux. La visite d'une femme de coeur, intelligente et calme, vient troubler ce délicieux désordre. Comment écarter la menace ? Dans la pinède embrasée, un jeu cruel se prépare.
C'était l'été 1954. On entendait pour la première fois la voix sèche et rapide d'un « charmant petit monstre » qui allait faire scandale. La deuxième moitié du XXe siècle commençait. Elle serait à l'image de cette adolescente déchirée entre le remords et le culte du plaisir.
" J'ai repensé à ces innombrables rapports auxquels je m'étais forcée par politesse, pour ne pas froisser les ego fragiles. À toutes les fois où mon plaisir était optionnel, où je n'avais pas joui. À tous ces coïts où j'avais eu mal avant, pendant, après. Aux préparatifs douloureux à coups d'épilateur, aux pénétrations à rallonge, aux positions inconfortables, aux cystites du lendemain. À tous ces sacrifices pour rester cotée à l'argus sur le grand marché de la baisabilité. À toute cette mascarade destinée à attirer le chaland ou à maintenir le désir après des années de vie commune. Cette servitude volontaire à laquelle se soumettent les femmes hétérosexuelles, pour si peu de plaisir en retour, sans doute par peur d'être abandonnées, une fois fripées comme ces vieilles filles qu'on regarde avec pitié. Un jour, j'ai arrêté le sexe avec les hommes. " Autrice et documentariste spécialiste de l'intime et du rapport au corps, Ovidie retrace ici la trajectoire qui l'a conduite à quatre années de grève du sexe.
Dirigée par Vanessa Springora, la collection " Fauteuse de trouble " articule intimité et émancipation, érotisme et féminisme, corps et révolte, sexuel et textuel.
Londres. Trois femmes sont frappées de plein fouet par l'assassinat d'un jeune homme à bord de sa péniche. Carla, sa tante. Miriam, sa voisine, qui a découvert le corps. Et Laura, avec qui la victime a passé sa dernière nuit. Si elles ne se connaissent pas, ces trois femmes ont un point en commun : chacune a été victime d'une injustice qui a gâché sa vie. Chacune couve une colère qui ne demande qu'à exploser. L'une d'entre elles aurait-elle commis l'irrémédiable pour réparer les torts qu'elle a subis ?
Attention, événement ! Paula Hawkins, l'auteure de La Fille du train, qui a conquis des millions de lecteurs à travers le monde, revient avec un nouveau roman éblouissant, à l'intrigue incandescente. Sous sa plume, trois femmes, qui brûlent de prendre leur revanche, vont voir leur monde s'embraser. Un thriller redoutablement addictif et profondément humain.
Cinéma, littérature et poésie ... Sophie Marceau est publiée chez Seghers !
Les treize histoires et sept poèmes qui composent ce livre se répondent et se complètent : d'un décor à l'autre (plateaux de cinéma, jardins d'enfance, hôtels de luxe ou terrains vagues), les héroïnes (filles, jeunes femmes, amantes ou amoureuses, mères ou grands-mères) incarnent chacune à leur manière le sort d'être femme, qu'il s'exprime par un corps, un rôle, un héritage.
Au fil des récits, des fables, des fragments de vie, des poésies, il s'agit toujours de dévoiler un mystère, un secret, la part souterraine... Les mots s'insinuent comme il faut pour toucher ce qu'il y a à toucher, et dire ce qu'il y a à en dire. Avec finesse et intensité. Et c'est un plaisir de plonger dans ces textes - débordants d'imagination, de fantaisie, basculant souvent de l'observation la plus juste à une imprévisible drôlerie.
Voici le voyage d'une ;
Survie grâce à la poésie ;
Voici mes larmes, ma sueur et mon sang ;
De vingt et un ans ;
Voici mon coeur ;
Dans tes mains ;
Voici la blessure ;
L'amour ;
La rupture ;
La guérison ;
- Rupi Kaur -
Par l'autrice de Les passeurs de livres de Daraya Grand Prix des lectrices Elle Göktay est professeur à l'université du Bosphore à Istanbul. Idéaliste, adoré de ses étudiants, il a séduit Ayla, professeure de français, avec un poème. La vie est douce quand on est jeunes, amoureux et parents comblés d'une petite fille.
Mais Göktay refuse de vivre dans une bulle. Pour avoir signé une pétition de plus, une pétition de trop, il est arrêté et jeté en prison. La répression menée par le président Erdogan s'abat, féroce et violente.
Des milliers d'activistes, de journalistes, de fonctionnaires et d'universitaires sont réduits au silence par un pouvoir cynique, habile à manipuler l'opinion.
Ayla s'était toujours retenue de s'engager : le confort du quotidien et sa famille comptaient par-dessus tout. Bouleversée de voir Göktay sombrer dans le désespoir et révoltée par l'injustice, elle décide de reprendre le flambeau.
Un roman de colère et d'amour, traversé par l'Histoire.
Libraire à Acapulco au Mexique, Lydia mène une vie calme avec son mari journaliste Sebastián et leur famille, malgré les tensions causées dans la ville par les puissants cartels de la drogue. Jusqu'au jour où Sebastián, s'apprêtant à révéler dans la presse l'identité du chef du principal cartel, apprend à Lydia que celui-ci n'est autre que Javier, un client érudit avec qui elle s'est liée dans sa librairie... La parution de son article, quelques jours plus tard, bouleverse leur destin à tous.
Contrainte de prendre la fuite avec Luca, son fils de huit ans, Lydia se sait suivie par les hommes de Javier. Tous deux vont alors rejoindre le flot de migrants en provenance du sud du continent, en route vers les États-Unis, devront voyager clandestinement à bord de la redoutable Bestia, le train qui fonce vers le Nord, seront dépouillés par des policiers corrompus, et menacés par les tueurs du cartel...
Porté par une écriture électrique, American Dirt raconte le quotidien de ces femmes et de ces hommes qui ont pour seul bagage une farouche volonté d'avancer vers la frontière.
Septembre 1961. Depuis le pont du bateau sur lequel elle a embarqué, Ruth tourne le dos à son île natale, la République dominicaine. En ligne de mire : New York. Elle en est sûre, bientôt elle sera journaliste comme l'était son père, Wilhelm. Très vite, elle devient une véritable New-Yorkaise et vit au rythme du rock, de l'amitié, des amours et des bouleversements du temps : l'assassinat de Kennedy, la marche pour les droits civiques, les frémissements de la contre-culture...
Mais Ruth se cherche. Qui est-elle vraiment ? Dominicaine, née de parents juifs autrichiens ? Américaine d'adoption ? Dans cette période de doute, elle est entourée par trois femmes fortes et inspirantes : sa mère Almah en République dominicaine, sa tante Myriam à New York et sa marraine Svenja en Israël symbolisent son déchirement entre ses racines multiples.
Une fresque historique haletante.
LiRE Un portrait incroyablement juste.
Judy Manuzzi - Page des Libraires