Jules Michelet est un homme de lettres et historien français. Son oeuvre majeure, « l'Histoire de France », va l'occuper pendant trente ans.
Dans « La sorcière », développé à partir d'un épisode de l'histoire, l'auteur démontre avec audace la fonction utile et salutaire de la sorcière au Moyen Age face au pouvoir officiel détenu et édicté par l'Eglise. L'unique médecin du peuple, pendant mille ans, fut la sorcière.
Un souvenir revient dans les écrits d'Audre Lorde. C'est l'hiver à New York. Audre est dans le métro avec sa mère. Emmitouflée, elle est assise à côté d'une dame en manteau de fourrure. Elle regarde la dame, blanche, qui d'une main rageuse retire le pan de manteau qui effleure l'enfant. Une enfant Noire qui ne comprend pas et cherche désespérément un cafard, une poussière, bref une saleté justifiant ce geste.
Quelque chose pour ne pas réaliser que la saleté... c'est elle. Ensuite, le regard rageur de la dame blanche qui tue l'enfant Noire de cinq ans parce qu'elle ne peut pas le nommer : le regard du racisme. Un souvenir vrillé en elle, plus qu'une douleur, une souffrance indélébile qui permet à la poète adulte d'affirmer qu'au fond, en Amérique, on ne veut pas que les Noir-e-s vivent. Audre a vécu, survécu, pour nous dire son "amérique", ses passions, ses colères, dans une série d'écrits lumineux.
Un cri bref et puissant à l'absence d'un père.
Il s'en va. Est-ce qu'il la quitte ? L'adolescente croit se réjouir de ce départ. Longtemps après, elle le retrouvera. Et il faudra attendre encore plus longtemps pour qu'elle affronte ce qu'elle nommera abandon. Mais qui abandonne qui ? Qui se sépare de qui ? La narratrice part de l'intime pour traverser des frontières, aller vers des territoires inexplorés. En questionnant son histoire, elle s'adresse à tous, offrant à ce voyage son écriture singulière.
Le récit étonnant de la vie hors du commun de Margaret Brooke, devenue Rani (reine) du Sarawak, un des deux États de Malaise orientale en 1870. 2) Un témoignage singulier, entre aristocratie de la Grande-Bretagne victorienne et douceur de vie sur l'île de Bornéo qui se révèle pleine de mystères et de surprises. 3) Nouvelle traduction en français de Good morning and Good night, le récit autobiographique de Margaret Brooke, presenté et enrichi par Alain Quella-Villéger, spécialiste de Pierre Loti - un des contemporains apprécié de Margaret Brooke qui a passé toute son enfance en France.
L'écoféminisme est une philosophie, une éthique et un mouvement né de la conjonction des deux « surgissements du monde moderne » que sont l'écologie et le féminisme. Ce nouveau concept opère la synthèse entre l'idée d'une double exploitation : celle de la nature par l'homme et celle de la femme par l'homme.
Dans cet ouvrage initialement paru en 1978, mais d'une actualité brûlante, l'auteure remet radicalement en question la notion de croissance, économique et démographique, dénonçant le capitalisme comme stade ultime du patriarcat.
La surpopulation et l'épuisement des ressources illustrent l'« illimitisme » caractéristique de ce qu'elle nomme le « système mâle », et elle est l'une des premières à affirmer qu'il faut préserver ce qui reste encore de l'environnement, sous peine de mort. Dans ce combat universel, les femmes, fortes de leur longue expérience d'exploitation, ont un rôle déterminant à jouer.
Il y a peu de livres sur cet homme et pourtant il passa sa vie en leur compagnie, Larousse qui meuble nos bibliothèques.
Une vie de passions et de combats.
Pierre Larousse, l'autodidacte qui dévore les livres et les études, suit à Paris les cours qui s'offrent à lui et le soir, noircit ses carnets de notes. Rien n'arrête sa soif d'apprendre et bientôt de transmettre, quitte à se tuer à la tâche pour nous offrir des manuels destinés à enseigner l'orthographe, mais aussi l'art de s'exprimer à l'écrit comme à l'oral. La lexicologie des écoles primaires, en 1849, fut son premier ouvrage. Suivirent en 1856 le Nouveau dictionnaire de la langue française, ancêtre du Petit Larousse, puis, en 1863, le Grand dictionnaire universel du xixe siècle, un rêve d'encyclopédiste : de quoi « instruire tout le monde sur toutes choses ». Des mots dans lesquels on reconnaît le défenseur d'une école gratuite et obligatoire et des valeurs de la République.
2017 : l'année du bicentenaire.
Nous entrons dans l'année du bicentenaire de la naissance de Larousse (1817-1875) et, dans la suite des Cher Corbu, Cher Matisse, Cher Nicéphore et Chère Camille Claudel, ce Cher Pierre Larousse est une déclaration libre de ton à l'infatigable homme de progrès, à l'heure où chacun considère avec inquiétude les questions de l'apprentissage de la lecture et de l'écriture, de l'orthographe en danger, de l'illettrisme en hausse, de l'évolution de la langue, de la réforme de l'orthographe et enfin, à l'heure des tweets et des textos, d'un nouveau vocabulaire.
Les contributeurs se sont replongés de bonne grâce dans les souvenirs de leur premier dictionnaire et du Larousse que l'on se passait de mains en mains, que l'on feuilletait avidement ou que l'on affectait à quelque contre-emploi, mêlant roman familial et Histoire. Ils se sont plu à évoquer le mot que l'on cherche ou que l'on déforme, le mot de l'année, le mot à bannir et celui qui reste à inventer, des mots, toujours des mots et enfin : être ou ne pas être - dans le Larousse...
« Mon père, sauf tuer et voler, j'ai tout fait ».
Toujours en mouvement, Liane de Pougy séduit : elle est de ces femmes insaisissables qui ne quittent jamais notre esprit. Tour à tour courtisane, princesse, danseuse aux Folies Bergère, écrivaine et soeur dominicaine, elle fut de celles qui marquent toute une époque. Celle qui aurait inspiré Marcel Proust pour créer le personnage d'Odette de Crécy, incarnation du trouble et de l'amour obsessionnel dans « À la recherche du temps perdu ». Celle qui côtoya Colette, Cocteau, Rothschild ou encore Chanel. Celle qui, par ses mémoires, livre un témoignage ardent qui écoute battre le pouls de la Belle Époque et des Années Folles.Passions avortées, passé trouble et penchants bohèmes s'y conjuguent pour dresser le portrait d'une femme tournée tout entière vers la frénésie de vivre.
ErosOnyx Éditions a republié, en janvier 2008, en grand format les deux premiers recueils de Renée Vivien (1877-1909), et sa traduction de la poétesse grecque Sapho. C'est par la reprise de ce volume (en édition revue et corrigée) qu'ErosOnyx Éditions lance sa collection de poche.
Peu de découvertes ont radicalement changé le cours de l'histoire humaine. Ce livre traite de la plus récente et, potentiellement, de la plus puissante et dangereuse de toutes.
La technologie CRISPR-Cas9 nous permet de réécrire avec une précision et une facilité étonnantes le code génétique qui façonne et contrôle tous les êtres sur Terre. Les rêves de manipulation du vivant sont devenus une réalité: il sera bientôt possible de guérir les maladies et de soulager les sou?rances, de créer de nouvelles sources de nourriture et d'énergie, mais aussi de repenser toutes les espèces, y compris les humains, selon les ?nalités que nous aurons ?xées. Jennifer Doudna, co-inventrice du CRISPR-Cas9 avec sa collègue française Emmanuelle Charpentier (sollicitée pour une préface) s'est adjoint les services du chercheur Samuel Sternberg pour nous raconter l'aventure de cette découverte et nous expliquer aussi bien le fonctionnement de cette technologie que ses conséquences. Elle nous invite aussi à ré?échir à ce que signi?e ce redoutable pouvoir. Comment mettre à pro?t une technologie o?rant tant de bienfaits mais présentant également des dangers comme nous n'en avons jamais connus auparavant? L'avenir de l'humanité et de toute vie sur Terre est en jeu. Ce livre constitue un guide essentiel sur le chemin qui nous attend désormais.
Au retour de son périple au Maroc effectué en 1832 avec la mission française dirigée par le comte de Mornay, Delacroix a fait une escale de quelques heures à Alger, le temps de se promener à la Marine puis dans la Casbah, et de rendre visite au foyer de Sid Abdallah. Le moment passé dans cette maison lui a inspiré un immense chef d'oeuvre : Les Dames d'Alger dans leur appartement.
Une toile qui reçut un accueil mitigé au Salon de 1834. Une toile qui n'a pas fini de livrer ses secrets.
Maurice Arama effectue une véritable autopsie de cette oeuvre en s'appuyant sur les Carnets et sur les croquis préparatoires. Il s'attache aussi à retrouver l'état d'esprit du peintre, plongé dans l'amertume par le spectacle des destructions effectuées par l'autorité française.
Une toile qui connut une remarquable postérité, avec des réinterprétations par de nombreux peintres, jusqu'à Picasso.
Un conte écrit au Sénégal, magnifiquement illustré par l'auteur du célèbre Taxi-brousse de Papa Diop, où la magie d'un rêve fait revivre les traditions des grands sages.
Un livre où l'enfance rime avec fête, la terre avec espoir.
Près de vingt ans après la fin de l'Union soviétique, il reste encore des dissidents. Condamnée à mort en 1983 pour "haute trahison d'État", Renata Lesnik en est le vivant exemple. Ses crimes ? Être passée à l'Ouest en bernant le KGB et avoir révélé dans Ici Moscou, son premier livre, le vrai visage du régime. Avec Mariée au KGB, en femme libre, elle nous livre enfin ses mémoires et dévoile un pan largement méconnu de l'histoire récente. Avec sa verve sans égale, son humour ravageur - sans idéologie ni pathos - elle évoque sa résistance au sein d'un système totalitaire et son quotidien à travers une URSS digne de Kafka. Passionnant thriller politique, la vie de Renata - toujours sur le fil du rasoir - prend littéralement le lecteur aux tripes. Intransigeante, courageuse et authentique, elle s'est affirmée comme l'un des plus brillants experts de la Russie post-soviétique, sans jamais accepter le compromis. Toujours traquée, cette réfugiée politique en France est devenue, aux yeux de certains, un témoin gênant.
Comment les femmes apparaissent-elles dans les arts africains oe
Le dernier ouvrage du musée Dapper propose différentes réponses à cette question en réunissant des textes d'anthropologues, sociologues et historiens de l'art qui dévoilent les signes essentiels, objets, mots et gestes rituels qui animent l'univers féminin.
De la naissance au plus grand âge, en passant par les étapes obligées de la puberté, du mariage, de la mise au monde des enfants, puis de la maturité, les femmes occupaient en Afrique et occupent souvent encore une place très particulière.
Si la maternité constitue le thème majeur des représentations féminines dans les arts africains et si « la femme avec enfant » est une figure idéale, sa progéniture constituant une richesse pour le groupe, il n'en demeure pas moins que des femmes ont exercé et exercent encore le pouvoir politique et spirituel.
Réalisées et manipulées par les hommes pour des cultes qu'ils président, des sculptures à l'attitude hiératique appartenant à de grandes aires culturelles, notamment du Mali, de la Côte d'Ivoire ou du Congo, peuvent être rapprochées de certaines oeuvres de l'Égypte pharaonique. Les objets révèlent, par ailleurs, le statut ambivalent des femmes dans les sociétés
de l'Afrique subsaharienne. La gestuelle de même que les marques corporelles
accompagnées parfois de mutilations, telle l'excision, traduisent le vécu des
femmes. Aujourd'hui les plasticiennes africaines s'affirment de plus en plus dans le monde de l'art contemporain. Cet ouvrage consacre quelques pages à la photographe Angèle Etoundi Essamba. Celle-ci explore à travers le portrait - notamment celui de la femme noire la représentation et l'identité multiculturelles. Avec plus de trois cents illustrations, principalement
des oeuvres d'art ou des photographies de terrain, des textes riches et
complémentaires, Femmes, dans les arts d'Afrique, met en lumière un univers
ambigu et fascinant.
Aujourd'hui encore, l'" intérêt supérieur de l'enfant " consiste, pour la société et ses juges, à confier la résidence de celui-ci, en cas de séparation du couple, à un seul de ses deux parents, le plus souvent la mère.
Pourtant, tout le monde le reconnaît, la famille a changé, le rôle du père a évolué. Les parents biologiques ne sont plus les seuls à assurer la protection et l'éducation des enfants. Il y a aussi tous les " autres " parents, ceux qu'Eric Verdier propose de regrouper sous le nom de " coparents ", et qui comprennent les " beaux-parents " (en cas de remariage), mais pas seulement. Or, ce " pas seulement " est souvent ignoré par la loi, ce qui engendre des problèmes innombrables et des souffrances inutiles.
Afin de rétablir l'équilibre coparental et d'éviter le sentiment d'humiliation de celui ou celle qui n'obtient pas la résidence de l'enfant, il convient de refonder la parentalité sur les valeurs essentielles que sont la clarté, le respect et l'équité : privilégier la résidence alternée et/ou favoriser le parent qui y est ouvert afin de prévenir l'" aliénation parentale "; établir la clarté sur les origines, en particulier en cas d'accouchement sous X, de procréation médicalement assistée ou de recours à une " mère porteuse "; respecter l'équité par l'extension de la définition de conjoint aux pacsés et aux concubins, ouvrant ainsi l'adoption aux couples de même sexe; définir juridiquement un nouveau statut de coparent qui aille au-delà de la " délégation d'autorité parentale ".
Ainsi, l'intérêt réel de l'enfant sera-t-il enfin pris en compte.
Le Palais Fesch-musée des Beaux-Arts conserve et expose un ensemble de Primitifs italiens des XIVe et XVe siècles.
Grâce aux collectionneurs d'oeuvres d'art et aux érudits, comme le cardinal Fesch, qui les découvrent dès le XVIIIe siècle, les Primitifs commencent une nouvelle vie : ils sont retirés des églises pour lesquelles ils avaient été créés, sont achetés par les collectionneurs, puis mis en vente ;
Ils suscitent un tel engouement que chacun veut en posséder.
Pour satisfaire les demandes, il en faut beaucoup et s'il n'y en a pas assez, il faut en produire. Alors on découpe de vrais panneaux, on fabrique des faux. Mais comment s'y retrouver ?
Cette édition créée pour le jeune public propose quelques clefs pour comprendre cet art du Moyen Âge et sa renaissance au XIXe siècle.
" Fumer n'est pas un vice.
C'est une manière de vivre, de penser et de sentir. La personne qui fume et celle qui ne fume pas ne pensent pas de la même façon, ne ressentent pas de la même manière, n'ont pas la même échelle de valeurs... " A la fois témoignage personnel et évocation culturelle, cet ouvrage intelligent et sensible de l'immense romancière Cristina Peri Rossi nous dévoile sa relation passionnelle et tourmentée avec la cigarette.
Habilement, elle nous entraîne par le biais de son expérience et de ses réflexions dans un voyage sensuel et lucide à travers l'histoire et les mythes associés à la cigarette. On y croise des acteurs (Humphrey Bogart, Marlène Dietrich, Yves Montand, Jeanne Moreau, Juliette Binoche), des écrivains (Albert Camus, Ernest Hemingnvay, Gabriel Garcia Marquez) et bien d'autres victimes de ces plaisirs coupables qui font pourtant notre bonheur.
Trait à trait, Cristina Peri Rossi y dessine une image profondément originale de la cigarette, de ce qu'elle apporte et de ce qu'elle reprend, dans un souvenir heureux mais lucide du temps où fumer était un plaisir...
L'adoption internationale est aujourd'hui sous les feux de l'actualité pour de multiples raisons. D'abord les adoptions outrageusement médiatisées par des stars comme Madonna, Johnny Halliday, Angelina Jolie et d'autres, d'enfants de pays du tiers monde pas toujours sans parents; ensuite le scandale récent du « transfert » d'enfants supposés orphelins venant de pays en guerre par des organismes peu soucieux du droit international de l'adoption comme « Children Rescue / Arche de Zoé » ont
encore relancé le débat sur la véritable nature de cette difficile question et de ses intrications avec le politique.
C'est que l'adoption est un problème complexe. Pour un enfant, adulte de demain, changer de parenté, de nom, de famille, de culture, de langue, de généalogie, de filiation et d'identité n'est jamais sans cicatrices. Cela touche aux racines les plus profondes de l'intimité de l'être humain, qu'il soit adopté ou adoptant.
Mais l'adoption renvoie aussi à une dimension collective sociale, culturelle tout en croisant de complexes réalités géopolitiques entre pays riches et pays pauvres ou en très grande précarité.
L'adoption n'est pas qu'une simple démarche d'un être humain vers un autre, mais elle est au carrefour des sciences humaines, du droit, de l'économie et de la politique où chacun doit mesurer sa responsabilité.
Le Manifeste des FE MEN est le premier ouvrage écrit par l'équipe internationale du désormais célèbre coll ectif féministe.
Par l'originalité et le retentissement de leurs actions, ce groupe de militantes ébranle les fondements du patriarcat et renouvelle l'action féministe. Après avoir suscité beaucoup de commentaires, souvent approximatifs ou superficiels, les FEMEN ont décidé d'exposer les idées et les motivations qui sous-tendent leur engagement. Par la diffusion de ce qui est une véritable déclaration politique, les mots viendront compléter et renforcer les images.
Historique, motivations, convictions, mode d'actions, manifestations seins nus, sextrémisme, slogans, cibles principales. Les FEMEN décrivent et analysent dans ce livre les différentes facettes de leur combat contre la plus haute et plus profonde forme d'oppression que les femmes aient à subir, à savoir le système patriarcal.
Les FEMEN, par leurs actions courageuses, réclament l'égalité entre les femmes et les hommes en se réappropriant leur corps. Si le corps nu féminin servait jusqu'alors un système de domination masculine, il entend désormais être l'outil de sa révolution.
Cet ouvrage se termine par une «lettre ouverte aux femmes du monde» où il est dit notamment : « Aucune culture, aucune tradition, aucun milieu social, aucun conte millénaire, aucune loi médiévale ne saurait justifier l'oppression d'un sexe par l'autre et c'est à nous toutes qu'il incombe de renverser ce système. »
Née à Florence en 1944, diplômée de la faculté d'Architecture, Letizia Galli enseigne le dessin à des enfants avant de s'installer à Milan et y écrit son premier livre pour enfant en 1975. Elle décide par la suite, après son installation à Paris dès 1990, de se consacrer alors à l'illustration d'ouvrages destinés à la jeunesse.
Reconnue au niveau international, elle collabore avec plusieurs éditeurs étrangers et réalise plus de soixante albums qui sont publiés dans le monde entier. Ses thèmes d'inspiration sont variés, notamment l'histoire de l'art. De nombreuses expositions, du Centre Pompidou, à Paris en passant par Moscou, Naples ou encore Londres, lui ont été consacrées.
En 2010 elle fait don au musée de l'illustration jeunesse, de 2.906 dessins originaux venant enrichir le fonds du musée.
Ainsi, sa monographie permet à un large public d'apprécier le parcours de Letizia Galli, de ses débuts, pour la presse et la publicité, à son passage à l'illustration, et nous offre une meilleure connaissance de son travail d'illustratrice citoyenne du monde.