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Boomerang
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Le féminisme ou la mort
Françoise d' Eaubonne
- Le Passager clandestin
- Boomerang
- 30 Octobre 2020
- 9782369352433
En faisant du capitalisme patriarcal le dénominateur commun de l'oppression des femmes et de l'exploitation de la planète, Françoise d'Eaubonne offre de nouvelles perspectives au mouvement féministe et à la lutte écologiste. Pour empêcher l'assassinat généralisé du vivant, il n'y a aucune alternative sinon l'écoféminisme. C'est le féminisme ou la mort. Longtemps inaccessible, ce texte devenu référence est introduit par deux chercheuses et militantes.
A l'aune de leur engagements et d'une lecture croisée de ce manifeste visionnaire, Myriam Bahaffou et Julie Gorecki soulignent les ambiguïtés de ce courant en pleine résurgence et nous proposent des pistes pour bâtir un écoféminisme résolument radical, intersectionnel et décolonial.
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« Le rapport de l'homme à la nature est, plus que jamais, celui de l'homme à la femme ». En liant les problématiques écologistes et féministes, F. d'Eaubonne dénonce à la fois le sexisme et la démesure de la société patriarcale qui exploite les femmes comme la terre au nom du profit. Rejetant les principes de croissance économique et démographique, elle insiste sur les limites de la planète. « Aucun régime politique, aucune invention géniale ne changera ce petit fait désolant : notre planète ne compte que 40 000 kilomètres de tour, et rien ne lui en ajoutera un seul. » Face au péril et à l'incapacité des hommes au pouvoir de gérer la crise écologique et politique, il revient aux femmes de se réapproprier leur fécondité et d'oeuvrer à la mutation de la société vers une société écoféministe.
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Le jour du slip ; je porte la culotte
Anne Percin, Thomas Gornet
- Rouergue
- Boomerang
- 15 Mars 2013
- 9782812604966
Premier "boomerang" à quatre mains, Le jour du slip et Je porte la culotte nous permet de nous glisser dans la peau d'un(e) autre. Dans le texte d'Anne Percin (Le jour du slip), Corinne se réveille affublée d'un zizi et s'aperçoit que tout le monde l'appelle Corentin et a l'air de trouver cela normal... Tandis que Thomas Gornet nous raconte dans Je porte la culotte, l'effet que ça fait de se retrouver dans la vie de Corinne quand on croit être Corentin ! La journée incroyablement drôle de deux enfants qui se retrouvent projetés dans le genre opposé, à l'âge où les identités masculines et féminines s'affirment, dans la cour de l'école mais aussi dans les attitudes des adultes !
Deux récits hilarants qui jouent à fond le jeu du "recto-verso" et qui posent finement la question des relations entre filles et garçons.