Alors que la Peur rouge s'abat sur l'ensemble des États-Unis, Phoebe Adler, talentueuse scénariste, est brutalement bannie de Hollywood. La cause ? Ses supposées accointances communistes, vraisemblablement le fruit des affabulations d'un collègue jaloux. Face à la menace d'un procès inique, la jeune femme se retrouve contrainte d'abandonner sa soeur malade et d'émigrer de l'autre coté de l'Atlantique.
Mais, au lendemain de la guerre, trouver du travail dans un Londres entièrement à reconstruire n'est pas chose facile. Jusqu'au jour où le chemin de Phoebe croise celui d'Hannah Wolfson. Productrice américaine, elle-même victime de dénonciations, Hannah a décidé d'offrir son aide aux artistes blacklistés.
Ensemble, les deux femmes jurent de prendre leur revanche, non seulement sur le maccarthysme, mais aussi sur le sexisme qui règne dans les studios. Duo de choc, de talent et de charme, Phoebe et Hannah voient leurs voeux exaucés au-delà de leurs rêves... avant de réaliser que la chasse aux sorcières ne connaît pas de frontières et que leur sanctuaire anglais est loin d'être sans danger.
Comment vivre avec notre âme de sorcière dans le monde moderne qui ne comprend rien à la magie ?
C'est à relever ce défi que s'est engagée Odile Chabrillac : le moment est venu de reconquérir notre place, d'être fière de notre féminité profonde.
Grâce à la force sacrée de la terre, du chaos, du sexe, vous allez découvrir comment vous reconnecter à vos propres ressources, vous reliez aux autres et en particulières à vos soeurs. Un livre précieux !
Naturopathe, psychothérapeute et journaliste, Odile CHABRILLAC a fondé The Different Magazine, un site qui traite de tous les thèmes liés à la santé, à la vie pratique et aux médecines douces.
Également chez Pocket : Âmes de sorcière.
Et si vous aviez une image de la femme complètement fausse ?
Encore aujourd'hui, les femmes naissent dans un environnement où règnent des stéréotypes qui les enferment dans des rôles étriqués. Sans même s'en rendre compte, elles adoptent des projets et des désirs qui ne sont pas les leurs. Il est temps de se libérer...
En vous guidant pas à pas, les auteurs de ce livre vont vous délivrer de vos chaînes invisibles et vous aider à discerner ce qui vous, vous rendra heureuse, libre et confiante...
?Susie Herrik est psychothérapeute.
Elle Luna est peintre.
Pourquoi « féminisme » est-il encore considéré comme un gros mot ? Comment s'y retrouver dans la jungle des courants féministes ? Les Spice Girls ont-elles piétiné l'héritage militant du girl power ? Comment s'expliquent les inégalités salariales entre les hommes et les femmes ? Qu'est-ce que le mansplaining, le slut shaming, l'empowerment ? Toutes ces questions trouvent des réponses claires et décomplexées dans cet abécédaire.
Dans cet essai passionnant, fruit d'innombrables entretiens et d'une longue et minutieuse enquête, la journaliste féministe Betty Friedan met des mots sur l'indicible malaise féminin : loin de la plénitude de la femme au foyer célébrée par l'American Way of Life, la femme noie ses frustrations, intellectuelles, culturelles, sexuelles, dans l'alcool et les psychotropes, réduite au rôle de procréatrice silencieuse par un système patriarcal sournoisement oppressant, coupable d'être malheureuse dans une société qui prétend tout faire pour la combler.
Plus de cinquante ans plus tard, la voix de Betty Friedan résonne toujours. Une lecture essentielle pour mesurer le chemin parcouru et comprendre les enjeux de notre époque. Le combat n'est pas terminé !
« Mère, retourne dans tes appartements, reprends tes travaux [...] discourir est l'affaire des hommes. » Ainsi dans l'Odyssée d'Homère, Télémaque s'adresse-t-il à Pénélope. Révolte adolescente ou misogynie systémique ?
Pour mieux cerner la violence exercée sur les femmes afin de leur intimer le silence, Mary Beard puise dans l'histoire de Méduse, d'Elizabeth Ire ou d'Hillary Clinton. Elle revisite ainsi, avec humour, la question de l'égalité des sexes et explique pourquoi, depuis deux mille ans, l'on a des femmes qui s'expriment et revendiquent le pouvoir une image détestable.
Symbole subversif de la révolte féministe, la figure de la sorcière est de retour, prête à questionner nos choix, notre rapport au monde, à la nature, au corps, à la sexualité, à la rationalité... Et ce qu'elle a à nous apprendre peut changer notre vie !
Sages-femmes, guérisseuses, femmes de pouvoir... les sorcières ont osé défier l'ordre établi. Loin des clichés et du folklore, elles ont laissé en héritage un savoir riche et multiple : célébrer son corps et sa sensualité, se ressourcer dans la nature, utiliser les vertus des plantes, s'ouvrir à l'énergie et à l'intuition... ou autant de pistes pour toucher à la magie du féminin.
Naturopathe, psychothérapeute et journaliste, Odile CHABRILLAC a fondé The Different Magazine, un site qui traite de tous les thèmes liés à la santé, à la vie pratique et aux médecines douces.
Et si, comme les femmes, les hommes étaient depuis toujours victimes du mythe de la virilité ? Pour asseoir sa domination sur le sexe féminin, l'homme a, dès les origines de la civilisation, théorisé sa supériorité en construisant le mythe de la virilité. Un discours fondateur qui n'a pas seulement postulé l'infériorité essentielle de la femme, mais aussi celle de l'autre homme (l'étranger, le « sous-homme », le « pédéraste »...). Historiquement, ce mythe a ainsi légitimé la minoration de la femme et l'oppression de l'homme par l'homme.
Depuis un siècle, ce modèle de la toute-puissance guerrière, politique et sexuelle est en pleine déconstruction, au point que certains esprits nostalgiques déplorent une « crise de la virilité ».
Si la virilité est aujourd'hui un mythe crépusculaire, il ne faut pas s'en alarmer, mais s'en réjouir. Car la réinvention actuelle des masculinités n'est pas seulement un progrès pour la cause des hommes, elle est l'avenir du féminisme.
« Nous, les femmes arabes, vivons dans une culture qui nous est fondamentalement hostile. » Face à ce constat, la journaliste égyptienne Mona Eltahawy, elle-même emprisonnée, battue, sexuellement agressée sur la place Tahrir en 2011, a décidé de prendre la parole.
Dire la difficulté de vivre dans une société patriarcale qui diabolise la femme.
Dire la situation de ces femmes forcées de porter le hijab ou le niqab, battues, violées, mutilées.
Parler pour libérer la parole féminine. Car comme nous le rappelle Mona Eltahawy :
« L'acte le plus subversif qu'une femme puisse commettre est de parler de sa vie comme si elle importait réellement. »