Ecrire, c'est voler. Amélie Nothomb Sélectionné pour le Prix Littéraire 2023 du journal Le Monde.
« Il ne faut pas sous-estimer la rage de survivre. »Amélie Nothomb est au meilleur d'elle-même : cruelle, tendre, drôle. Nathalie Crom, Télérama.
Prix Renaudot 2021.
Au début des années 1990, la narratrice est embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise. Elle va découvrir à ses dépens l'implacable rigueur de l'autorité d'entreprise, en même temps que les codes de conduite, incompréhensibles au profane, qui gouvernent la vie sociale au pays du Soleil levant.
D'erreurs en maladresses et en échecs, commence alors pour elle, comme dans un mauvais rêve, la descente inexorable dans les degrés de la hiérarchie, jusqu'au rang de surveillante des toilettes, celui de l'humiliation dernière. Une course absurde vers l'abîme - image de la vie -, où l'humour percutant d'Amélie Nothomb fait mouche à chaque ligne.
Entre le rire et l'angoisse, cette satire des nouveaux despotismes aux échos kafkaïens a conquis un immense public et valu à l'auteur d'Hygiène de l'assassin le Grand Prix du roman de l'Académie française en 1999.
« La jeunesse est un talent, il faut des années pour l'acquérir. »
« Pour éprouver la soif il faut être vivant. »Un sacré défi : imaginer une confession christique à la première personne. Lire.Dans Soif, Amélie Nothomb va loin. Le Parisien.
Les mots ont le pouvoir qu'on leur donne. Amélie Nothomb
« La personne qui aime est toujours la plus forte. » Fidèle à son style fluide, léger, poétique, la romancière conduit son intrigue avec un bon sens du tempo. Jean-Luc Wachthausen, Le Point.Amélie Nothomb est une auteure affûtée, qui ausculte, de façon de plus en plus nette et précise au fil des ans et des livres, la cruauté des rapports humains. Nathalie Crom, Télérama.
« Au premier regard je la trouvai si jeune que je la pris pour un garçon de quinze ans. » Comment l'écrivain à succès rencontre une fan, devenue romancière à son tour, bientôt complice pour partager son grand plaisir revendiqué : le champagne. Une histoire d'amitié enivrante.
Une cuvée des plus pétillantes, légère en bouche, piquante à souhait, de celles qu'on aime à savourer à grandes lampées.Julien Bisson, Lire.
« Ce qui est monstrueux n'est pas nécessairement indigne. » Une clarté d'expression qui fait mouche. Cette fois encore, on se régale. Isabelle Potel, Figaro Madame.
Faussement léger, drôle, et terriblement malin. Jeanne Ferney, La Croix.
Il n'y a pas d'échec amoureux. A. N.Zoïle est tombé éperdument amoureux de la douce Astrolabe, mais la jeune femme consacre tout son temps à Aliénor, une romancière géniale quoique légèrement attardée. Par dépit, il décide de détourner un avion et de l'envoyer percuter la tour Eiffel. A moins que...Tout est possible. Et, dans ce possible, on se laisse volontiers guider par une Amélie défoncée qui, jonglant avec ses figurines de lanterne magique, s'envoie joyeusement en l'air... Jean-Paul Enthoven, Le Point.Le Voyage d'hiver, titre emprunté à Schubert, [...] est une fantaisie originale dont l'étrange saveur ne se dissipe pas de sitôt. Delphine Peras, Lire.Lumineux démiurge, Amélie Nothomb apporte un peu de légèreté dans un monde d'une terrifiante gravité. Son nouveau roman est épatant ! François Busnel, L'Express.