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Pour Harriet et David, couple modèle, qui a fondé une famille heureuse, l'arrivée du cinquième enfant inaugure le temps des épreuves. Fruit d'une grossesse difficile, anormalement grand, vorace et agressif, Ben suscite bientôt le rejet des autres enfants, tandis que les parents plongent dans la spirale de l'impuissance et de la culpabilité.
La romancière du Carnet d'or, prix Médicis étranger 1976, mêle ici de façon impressionnante réalisme et fantastique, dans une fable cruelle qui met à nu l'envers et le non-dit des relations familiales.
Un véritable tour d'écrou. Doris Lessing semble possédée d'une indignation, d'un humour ambigu, aussi forts, aussi libres qu'à ses débuts.
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Au terme de sa longue vie, Goethe affirmait qu'il venait tout juste d'apprendre à lire. Dans ce recueil des meilleurs essais de Doris Lessing, rassemblés pour la première fois, on retrouve la sagesse d'une auteure qui a elle-même appris à lire le monde autrement. Depuis la vie sexuelle de Tolstoï jusqu'aux mystères du soufisme, en passant par la critique des grands classiques de la littérature, ces études abordent un très grand nombre de périodes et de thèmes.Peinture de l'âme humaine, Le temps mord offre le portrait unique en son genre de l'une des romancières les plus talentueuses de notre époque.
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Le soleil se leve sur le veld ( nouvelles africaines, tome 1)
Doris Lessing
- Le Livre De Poche
- 2 Février 2005
- 9782253099291
Doris Lessing
Nouvelles africaines *
Le soleil se lève sur le veld
C'est dans le souvenir de ses années passées en Rhodésie (aujourd'hui le Zimbabwe) que l'auteur des Enfants de la violence et du Carnet d'or a puisé la matière de ces nouvelles. Noirs asservis et humiliés - les uns se résignant, les autres se réfugiant dans un silence hostile -, Afrikaners et Anglais, colons opulents, « petits Blancs » paupérisés redoutant de tomber au niveau des Noirs : à travers une foule de personnages parfois tragiques, parfois dérisoires, campés en quelques pages avec un art parfait, Doris Lessing donne un tableau saisissant de l'Afrique australe des années 1970.
Ce premier volume des Nouvelles africaines réunit neuf textes : « Le vieux chef Mshlanga », « Le soleil se lève sur le veld », « Pas de sorcellerie à vendre », « La seconde hutte », « Le fléau », « L'arrivée des De Wet à Kloof Grange », « Le petit Tembi », « La ferme du Vieux John », « George le Léopard ».
Sans une once d'emphase, avec la densité, le frémissement et l'extrême finesse d'une écriture capable de saisir les émotions les plus subtiles, les réactions les plus complexes, Doris Lessing vient de peindre le portrait inoubliable et insupportable de la lèpre raciste.
Pierre Lepape, Télérama.
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On retrouve Ben Lovatt, le garçon du«Cinquième enfant», trois ans plus tard à l'âge de dix-huit ans. Après plusieurs aventures, Ben, exploité, abandonné, enfermé, objet de toutes les convoitises et de toutes les incompréhensions, trouvera-t-il sa place dans le monde tel qu'il est ?
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L'hiver en juillet ( nouvelles africaines, tome 2)
Doris Lessing
- Le Livre De Poche
- 2 Février 2005
- 9782253099307
Doris Lessing
Nouvelles africaines **
L'hiver en juillet
C'est dans le souvenir de ses années passées en Rhodésie (aujourd'hui le Zimbabwe) que l'auteur des Enfants de la violence et du Carnet d'or a puisé la matière de ces nouvelles. Noirs asservis et humiliés - les uns se résignant, les autres se réfugiant dans un silence hostile -, Afrikaners et Anglais, colons opulents, « petits Blancs » paupérisés redoutant de tomber au niveau des Noirs : à travers une foule de personnages parfois tragiques, parfois dérisoires, campés en quelques pages avec un art parfait, Doris Lessing donne un tableau saisissant de l'Afrique australe des années 1970.
Ce deuxième volume des Nouvelles africaines réunit
quatre textes : « L'hiver en juillet », « Un toit pour le bétail des Hautes Terres », « L'Eldorado », « La fourmilière ».
Sans une once d'emphase, avec la densité, le frémissement et l'extrême finesse d'une écriture capable de saisir les émotions les plus subtiles, les réactions les plus complexes, Doris Lessing vient de peindre le portrait inoubliable et insupportable de la lèpre raciste.
Pierre Lepape, Télérama.
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Recueilli dans la rue, sans qu'aucun indice permette de savoir qui il est ni d'où il vient, un amnésique est pris en charge par une équipe de psychiatres.
Il croit être ulysse, jason ou sindbad, et en de longs monologues il raconte le souvenir d'expériences dans un monde inconnu, fait de contrées improbables aux habitants singuliers.
Dans ce roman, l'un des plus étonnants qu'elle ait donnés, l'auteur du " carnet d'or " et des " nouvelles africaines " a poussé jusqu'à une véritable " science-fiction intérieure " l'investigation des territoires inconnus de l'esprit humain, au coeur de la folie.