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«Même dans les drames les plus terribles, les apparences ont leur mot à dire.» Mélanie, qui a grandi dans le culte de la téléréalité, n'a qu'une idée en tête : devenir célèbre. Mais son unique apparition à l'écran tourne au fiasco. Quelques années plus tard, mariée et mère de famille, elle décide de mettre en scène le quotidien de ses enfants sur YouTube. Le succès ne se fait pas attendre, et la voilà bientôt suivie par des millions d'abonnés. Jusqu'au jour où sa fille disparaît. Des années Loft Story aux années 2030, marquées par le sacre des réseaux sociaux, Delphine de Vigan explore les dérives d'une époque où l'on ne vit que pour être vu.
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Rien ne s'oppose à la nuit
Delphine de Vigan
- Le Livre de Poche
- Littérature
- 30 Janvier 2013
- 9782253164265
Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais aussi qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence. D. de V.
Il fallait oser pour s'attaquer à un sujet déjà investi par les plus grands écrivains : le livre de ma mère. Et, pourtant, D. de Vigan a apporté sa touche originale, en plus de son talent à maîtriser un récit. [...] Ce roman intrigue, hypnotise, bouleverse. Il interroge aussi. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.
Malédiction familiale en même temps que questionnement passionnant sur les rapports entre l'écriture et la vie, [un] livre éblouissant. Olivia de Lamberterie, Elle.
Prix Renaudot des lycéens 2011 - Prix roman France Télévisions 2011 - Grand prix des lectrices de Elle 2012
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« Vous êtes-vous déjà demandé combien de fois dans votre vie vous aviez réellement dit merci ? Un vrai merci. L'expression de votre gratitude, de votre reconnaissance, de votre dette. À qui ?On croit toujours qu'on a le temps de dire les choses, et puis soudain c'est trop tard. »Après Les Loyautés, Delphine de Vigan poursuit dans Les Gratitudes son exploration des lois intimes qui nous gouvernent.Un roman d'une rare puissance sur les dettes morales et les liens invisibles. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.Solaire et délicat. Raphaëlle Leyris, Le Monde.D'une humanité bouleversante. Nathalie Crom, Télérama
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D'après une histoire vraie
Delphine de Vigan
- LE LIVRE DE POCHE
- Litterature
- 4 Janvier 2017
- 9782253068631
« Encore aujourd'hui, il m'est difficile d'expliquer comment notre relation s'est développée si rapidement, et de quelle manière L. a pu, en l'espace de quelques mois, occuper une place dans ma vie.
L. exerçait sur moi une véritable fascination.
L. m'étonnait, m'amusait, m'intriguait. M'intimidait. (...) L. exerçait sur moi une douce emprise, intime et troublante, dont j'ignorais la cause et la portée. » D. de V.
Une autofiction prenant progressivement des allures de thriller, explorant l'ambivalence entre la fidélité aux faits et l'invention, dans une atmosphère oppressante. Raphaëlle Leyris, Le Monde des livres.
Delphine de Vigan joue de la porosité des frontières qui séparent le réel et la fiction avec une conviction qui donne par instants le vertige. Nathalie Crom, Télérama.
Une oeuvre d'une puissance émotionnelle infinie. Christine Ferniot, Lire.
Prix Renaudot Prix Goncourt des lycéens
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Au cinéma ou dans les séries, les figurants sont toujours flous, de dos ; ils ne font que passer. À la fois invisibles et indispensables, ils font partie de l'image, de sa fabrication, de son réalisme, mais doivent se fondre dans le décor. Avoir l'air vrai sans se faire remarquer. En transposant le plateau de cinéma sur une scène de théâtre, Delphine de Vigan leur offre le premier plan, le premier rôle, le devant de la scène. Cécile, Orso, Bruno, Joyce et Nora se rencontrent sur un tournage. Ils sont plus ou moins dirigés par un assistant totalement débordé. Peu à peu, les rôles s'inversent... Et si nous étions, tous, les figurants d'une vaste histoire qui nous dépasse ?
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Laure a 19 ans, elle est anorexique. Hospitalisée au dernier stade de la maladie, elle comprend peu à peu pourquoi elle en est arrivée là.
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Mathilde et Thibault ne se connaissent pas. Au coeur d'une ville sans cesse en mouvement, ils ne sont que deux silhouettes parmi des millions. Deux silhouettes qui pourraient se rencontrer, se percuter, ou seulement se croiser. Un jour de mai. Les Heures souterraines est un roman vibrant et magnifique sur les violences invisibles d'un monde privé de douceur, où l'on risque de se perdre, sans aucun bruit.Avec tendresse et légèreté, Delphine de Vigan met en scène deux personnes en détresse dans un Paris oppressant. Robert Solé, Le Monde.Ce roman sensible et dérangeant est un peu triste. Triste, donc superbe. François Busnel, L'Express.
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Un soir de décembre
Delphine de Vigan, François Busnel
- LE LIVRE DE POCHE
- Le Livre De Poche
- 7 Novembre 2018
- 9782253070993
« Un livre peut-il porter à ce point la trace d'une femme ? Peut-on écrire seulement pour ça, pour se rapprocher de quelqu'un ou de manière plus juste pour l'attacher à soi ? » Lorsqu'il écrit son premier roman, Matthieu Brin, quarante-cinq ans, est marié, père de deux enfants et mène une vie confortable. Et puis c'est le succès, les éloges, les lettres d'admirateurs. Parmi ces lettres, celles d'une femme qu'il a aimée et qu'il croyait avoir oubliée...
Sous la plume intimiste et saisissante de Delphine de Vigan, Un soir de décembre raconte l'histoire d'une faille soudaine dans l'existence d'un homme, d'un moment de fragilité où les certitudes s'estompent, où le passé ressurgit et où la mémoire se recompose.
Un livre captivant sur ce qui fait plonger les romanciers en eux-mêmes pour écrire. Parfois à leurs dépens... Psychologies.
Deux femmes blessées, et un homme en désarroi, que Delphine de Vigan ne juge pas, dont elle accompagne la mélancolie de mots clairs : Un soir de décembre interroge les failles des amours avec délicatesse. Le monde des livres.